Le sublime offertoire de la messe de ce jour a déjà été chanté à Noël, à la messe de l’aurore. Autant dire qu’il n’a été entendu à peu près par personne. Voici donc l’occasion de savourer ce chant d’éternité, qui célèbre, extatique, le trône éternel de Dieu.
Deus firmávit orbem terræ, qui non commovébitur : paráta sedes tua, Deus, ex tunc, a sǽculo tu es.
Dieu a affermi le globe de la terre qui ne sera point ébranlé : votre trône, ô Dieu, est établi dès lors ; vous êtes de toute éternité.
Commentaires
Ici en Angleterre, le prêtre FSSP a célébré la messe de St Thomas Becket, 1ère classe dans les diocèses d'Angleterre et du Pays de Galles. Avec les deuxièmes oraisons de la messe du dimanche.
Et à Ars, rite actuel et ordinaire, célébration de la Sainte Famille, le célébrant a rappelé dans son homélie qu'une famille, n'en déplaise à certains, c'est un homme, une femme et des enfants. Ce que Monsieur le Curé, bergoglien de la première heure, ne se serait sûrement jamais permis de faire. C'est en effet le genre de réflexion devenue inappropriée jusque dans les églises...