Le Canard enchaîné a révélé hier une note interne du ministère de la Justice indiquant que celui-ci envisage de maintenir ou supprimer des postes de juges en fonction des résultats électoraux de La République en marche aux prochaines municipales : la chancellerie a sollicité une réunion avec un conseiller du Premier ministre et les experts des élections municipales du parti macronien pour connaître les villes potentielles « cibles électorales » et ainsi « différer les annonces » de la réforme de la carte judiciaire.
La Belloubet a tranquillement assumé l’existence de cette note, et en justifie la teneur par le fait que toute réforme doit « faire l’objet d’une acceptabilité ».
Les syndicats hurlent, mais la caravane clientéliste passe… Tant que la Commission européenne a ses yeux noirs fixés sur la Pologne et la Hongrie…
Commentaires
C'est une bonne idée. La pgrande majorité des délits et des crimes étant commis par des personnes d'origine étrangère, qui souffrent d'un sentiment de rejet et de difficultés d'intégration, il faudrait presque toutes les relaxer sans jugement (sauf, évidemment, si elles s'en prennent à des descendants de victimes du nazisme ou à des homosexuels), ce que doivent pouvoir faire les tribunaux de simple police. Quant aux délits d'opinion, qui vont bientôt encombrer les tribunaux, on pourrait demander à une instance au-dessus de tout soupçon, tel le CRIF de Francis Kalifat, de s'en charger à temps plein.