Selon le dernier sondage ComRes pour le Telegraph, 54% des Britanniques qui ont une opinion sur la question se disent d’accord avec cette phrase :
Boris doit réaliser le Brexit par tous les moyens, y compris en suspendant le Parlement si nécessaire afin d’empêcher les députés de le bloquer.
Le soutien au parti conservateur est passé de 6 à 31% depuis la promesse formelle de Boris Johnson que le Brexit aurait lieu le 31 octobre.
Commentaires
Et la croissance est désormais négative
Le Brexit est une chimère
J’espère qu’un vrai Brexit va se faire. Ça sera une vraie libération pour les Anglais.
Mais leur avis ne compte pas. L’avis qui compte est celui des parlementaires, qui sont massivement opposés. On retrouve la même coupure entre le haut et le bas qu’en France. La classe dirigeante n’est absolument pas disposée à céder un pouce de terrain à la souveraineté populaire.
Cette fin d’année 2019 (Brexit ou non, élections italiennes) est presque aussi importante que 2016 (référendum Brexit, Trump). Il s’agit de savoir si les peuples européens sont capables de s’imposer à leur classe dirigeante.
Le Brexit n’est qu’un prétexte : il ne pose aucun problème insurmontable ni même ardu. L’UE passe des accords commerciaux avec la planète entière. La prétendue difficulté du Brexit n’est qu’une opération de propagande, le paravent d’une prise de position partisane.
Effectivement, Franck Boizard , le Brexit ne pose aucun problème insurmontable.
Même un Brexit dur, sans accord, ne posera que des problèmes temporaires. Les intérêts de l'Europe et du royaume-Uni (s'il survit aux volontés indépendantistes) sont trop puissants. Après un Brexit dur de nouveaux accords seront conclus comme avec la Norvège ou la Suisse. Les difficultés (réelles) seront surmontées.
Vive Boris.
vous racontez tous n'importe quoi
le Royaume-Uni éclatera
et comme on met entre 5 et 10 ans à négocier un accord de libre échange, le Royaume-Uni est mal...
Franchement, le Fear Project, on connaît
1) ce que vous appelez l’éclatement du Royaume-Uni, c’est la séparation de l’Ecosse et de l’Irlande du Nord. Tant mieux, les Anglais ne se porteront que mieux sans ces boulets.
2) l’accord avec les USA est quasiment bouclé. Et il y a le Commonwealth.
Plus fondamentalement : entre un peuple qui subit et un peuple qui agit, même avec des erreurs, le choix est évident àllng trrme.
Les Anglais veulent peut-être quitter l'Union européenne, mais cela ne veut pas dire qu'ils souhaitent la voir s'effondrer. Ni l'Etat, ni la nation anglaise n'ont jamais défendu, au moins depuis Cromwell, que les intérêts obscurs de l'oligarchie corrompue qui les dirige par en dessous.
Tout l'intérêt de la chose est de constater à quel point il est difficile (si même les Anglais n'y arrivent pas...) de se désengluer de cette cochonnerie inventée pour soumettre les Européens au diktat amerloque. C'est un peu comme si les Hongrois avaient voulu quitter le Pacte de Varsovie en 1956.
La famosa UERSS communisto-ultra-libérale de la CIA n'importe quoi ; l'abus de Villiers est mauvais pour la santé mentale.
De Villiers ? Le type qui prétend que Clovis a été baptisé en 508 ? Mauvaise pioche.
Mais il y avait aussi quelques Européens (parmi lesquels le Britannique Winston Churchill) membres de l'American Committee on United Europe (ACUE), créé en 1948 par la CIA, le département d'Etat américain et le CFR en vue de préparer l'unification européenne.
Vivement qu'ils dégagent avec leurs hordes de pakistanais. Ils pourront enfin lécher les bottes américaines en toute quiétude.