Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Légume

Le 21 août 2018, en Espagne, le fils d'Eliza Arcaya a un grave accident de voiture. Dix jours après, les médecins lui annoncent :

« Sa lésion est si grave qu’il n’y a rien à faire. Débranchez-le. Il ne va pas sortir de son lit et il ne va pas se réveiller : il sera un légume. »

Mais la mère ne l’entend pas ainsi. Elle décide de s’occuper de son fils. Le 6 septembre, il entrouvre un œil. Le 20 octobre, il ouvre les yeux et il pleure.

A la suite de diverses thérapies, il continue d’avoir des problèmes moteurs et d’élocution, mais il arrive à marcher et il est parfaitement lucide.

Combien faudra-t-il d’histoires comme celle-là, et d’études de chercheurs comme il en paraît régulièrement, pour que les médecins arrivent à admettre que les lésions ne sont pas forcément irréversibles et que le coma n’implique pas forcément une absence de conscience ?

Commentaires

  • C'est un problème de lits. Comme le faisait judicieusement observer Jean Yanne, 90 % des gens meurent dans un lit et 70 % d'entre eux meurent à l'hôpital. Si l'on veut réduire la mortalité, commençons par supprimer les lits et les hôpitaux.

  • On pourrait aussi se débarrasser des toubibs, car, selon Antonin Artaud, s'il n'y avait pas de médecins, il n'y aurait pas non plus de malades.

Les commentaires sont fermés.