La mise à mort a recommencé.
« Le cours de la procédure d'arrêt des traitements sera poursuivi à partir de ce jour », a déclaré par courriel le « docteur » Sanchez à chacun des membres de la famille de Vincent Lambert.
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La mise à mort a recommencé.
« Le cours de la procédure d'arrêt des traitements sera poursuivi à partir de ce jour », a déclaré par courriel le « docteur » Sanchez à chacun des membres de la famille de Vincent Lambert.
Commentaires
On peut écrire à l'ordre des médecins, comme je viens de le faire :
"Je fais suite à une recommandation du Salon Beige, qui conseille à ses lecteurs de vous contacter pour que vous rappeliez au docteur Vincent Sanchez les obligations déontologiques liées au serment d’Hippocrate.
Le respect du droit international, défendu en l’espèce par le CDPH, ne permet d’ailleurs pas davantage à ce Monsieur de donner la mort à Vincent Lambert, quelles que soient les pressions politiques nationales, exercées par l’intermédiaire d’institutions dévoyées.
Ce précédent concerne tous les Français, et au premier chef l’ensemble des médecins. Ceux-ci, s’il m’est permis d’en juger, ont suivi cette belle et noble vocation pour aider les gens à mieux vivre et non pour les faire mourir."
conseil-national@cn.medecin.fr
01 53 89 32 00
le respect du droit international n'a rien à voir dans cet assassinat
le droit français devrait largement suffire
je ne vois d'ailleurs pas pourquoi, dans cette affaire, on interdit à la famille, qui a pourtant trouvé des solutions, d'intervenir, si ce n'est pour soutenir les "droits" d'une femme adultère manifestement pressée d'être débarassée d'un époux qu'elle ne peut pas utiliser