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3e dimanche après Pâques

L’offertoire de ce dimanche est particulièrement contemplatif. Il envisage la vie entière comme une lente et douce extase de louange. Le P. Johner fait remarquer que la mélodie de l’alléluia final est celle de tous les alléluias de la période pascale en 4e mode, et que celui-ci est sans doute le premier, puisque le début est l’exacte reprise de psallam.

Lauda, ánima mea, Dóminum : laudábo Dóminum in vita mea : psallam Deo meo, quámdiu ero, alléluia.

O mon âme, loue le Seigneur. Je louerai le Seigneur pendant ma vie ; je chanterai mon Dieu tant que je serai, alléluia.

Cette antienne d’offertoire est le premier verset du psaume 145. Dans les anciens livres elle était suivie de deux versets, tirés du même psaume :

Qui custodit veritatem in saeculum: faciens judicium injuriam patientibus: dat escam esurientibus.

Lui qui garde la vérité pour toujours : faisant justice à ceux qui souffrent l’injustice, il donne la nourriture à ceux qui ont faim.

Dominus erigit elisos, Dominus solvit compeditos: custodit Dominus pupillum et advenam et viduam suscipiet et viam peccatorum exterminabit: regnabit Dominus in aeternum, Deus tuus, Sion, in saeculum saeculi.

Le Seigneur relève ceux qui sont brisés ; le Seigneur délie ceux qui sont enchaînés : le Seigneur garde l'orphelin et l'étranger et il recueillera la veuve : et il bannira la voie des pécheurs. Le Seigneur régnera pour l'éternité, ton Dieu, Sion, pour les siècles des siècles.

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