Ce matin je voyais mentionnées les statistiques d’une augmentation de la tuberculose, notamment « dans la région parisienne ».
Je me disais qu’on sait de quoi il s’agit mais que personne ne le dira.
Or, surprise, je viens d’entendre sur BFM un médecin spécialiste de l’hôpital Avicenne (sic) de Bobigny, qui après quelques considérations diverses a fini par affirmer clairement qu’il s’agit de « migrants en situation précaire ». Et comme on lui demandait s’il fallait s’inquiéter d’une propagation de la maladie il a clairement écarté une telle éventualité, parce que « ça ne concerne que la population de migrants en situation précaire ».
Bref c’est une maladie d’immigrés, comme on le savait déjà. Et qui augmente en proportion de l’immigration. Mais quand même on peut entendre la vérité, même sur BFM.
Commentaires
Et idem sur France infos à midi moins vingt aujourd'hui.
Je ne sais pas vous, mais le changement de vocable, depuis 2015, a fait naître en moi un espoir: et si c'était vraiment des migrants? (et non de immigrés) sans doute qu'ils n'ont pas fini de migrer...
Le mot migrant est évidemment très récent ; le mot immigré et ses dérivés aussi. Il y a moins d'un siècle, on parlait des émigrés russes qui exerçaient la profession de chauffeurs de taxi à Paris. Même Chaplin a fait un film, L'Emigré, qui devrait s'appeler L'Immigrant ou Le Migrant, selon les critères d'aujourd'hui. Comme avec le "sociétal", dis-moi ce que tu parles, je te dirai qui tu es...
Mea culpa. Chaplin est un (très) mauvais exemple, de ceux qui engrossaient les gamines de seize ans. Le titre amerloque de son film est The Immigrant, traduit L'Emigrant, et non L'Emigré. Mais, en français, s'exprime quand même l'heureuse rareté de la chose.
Il y a beaucoup beaucoup de maladies venues ou revenues avec l'immigration incontrôlée ; l'hygiène devient de plus en plus mauvaise dans beaucoup de zones... C'est triste. Et ce n'est pas fini hélas.
HS : si l'on n'approuve pas la conduite de ses enfants (du genre filles, sexe féminin), qui vont cependant à la messe (la plus nulle possible) et qui vous engueulent quand vous leur reprochez d'aller passer leurs week-ends avec un gugusse qu'elles ne vous ont même pas présenté, que faut-il faire ?
HS @Stavrolus
Leur montrer que c'est parce que vous les aimez profondément que leurs actes vous tordent les tripes ; qu'elles n'ont pas besoin de se démolir pour prouver qu'elles existent...
Difficile d'en dire plus sans en savoir davantage, et surtout sur un blog public !
Sauf, que ces "migrants", ne restent pas immobiles à un endroit donné; Ils se déplacent, prennent les transports en commun... et transmettent leurs maladies aux "indigènes". Sans parler de leurs enfants qui vont à l'école (certes, il n'y en a pas beaucoup)
Ainsi, à Porte La Chapelle les cas de galle des riverains est devenu problématique (mais vous ne le trouverez pas sur les mass merdia).
C'est sans doute pour cela que l'on culpabilise les français en les taxant de mauvais citoyen s'ils n'acceptent pas de se faire vacciner ?
Pourquoi ne pas vacciner ceux qui entrent en force dans notre pays ?
Lorsqu'on voyage à l'étranger n'est-on pas obligé de recevoir certains vaccins ?
Ce sont les politiques qui mettent les français en grand danger avec tous ces gens qui entrent SANS contrôle sur le territoire !
pourquoi ce (sic) aprés la mention de l'hôpital Avicenne ?
c'est un hôpital comme les autres où j'ai été soigné (trés bien) il y a plus de vingt ans aprés y avoir été amené par le SAMU
ce que j'y ai surtout remarqué était le respect que l'on y avait pour le bien-être des patients, comparable à celui que l'on trouve dans les hôpitaux militaires (en voie de disparition) et qui semble à peu prés oublié ailleurs
Ben... Un hôpital Avicenne à Bobigny, c'est à peu près aussi incongru qu'un Hôpital St Thomas d'Aquin à Abu Dabi ou un Hôpital Ambroise Paré à Mexico...
je suppose que g.marie ne sait pas qui est Avicenne et n'a jamais entendu parler de cet hôpital
Avicenne est un célèbre médecin iranien qui vivait autour de l'an mil et a laissé une oeuvre considérable
quant à l'hôpital en question, il a été créé dans les années 1930, parallèlement à la grande mosquée de Paris, sous le nom d'hîopital franco-musulman et était destiné aux malades musulmans de la région parisienne, plutôt pour les surveiller d'ailleurs, puisqu'il dépendait de la Préfecture de Police; le nom d'Avicenne lui a été attribué par la suite, sans doute dans le souci de respecter la loi de 1905, mais il y a longtemps : quand j'y ai été hospitalisé, il y a plus de vingt ans, il n'était nulle part question d'islamisme, et j'y ai été trés bien soigné et surtout trés bien traité, ce qui est de plus en plus rare