Le gouvernement de Donald Trump ne faiblit pas sur la défense de la vie. Il a menacé d’opposer son veto au texte de la résolution du Conseil de sécurité de l’ONU sur la protection des femmes victimes de violences sexuelles lors des conflits, si l’on ne retirait pas la référence à la « santé sexuelle et reproductive », qui recouvre le droit à l’avortement.
Le texte a donc été adopté sans cette référence. L’ambassadeur de France, François Delattre, est très en colère, et dénonce les Etats-Unis responsables d'un coup d’arrêt à « 25 ans d’acquis en faveur des droits des femmes », car la « santé sexuelle et reproductive » figurait dans les textes antérieurs.
La résolution a été « vidée de sa substance », nous dit-on. Parce que la protection des femmes en cas de conflit, ça concerne uniquement l’avortement ? Quel aveu : il ne s’agit pas de la protection des femmes, mais de l’avancée du « droit à l’avortement ».
Commentaires
L'infanticide est l'un des piliers de la nouvelle religion française. C'est étonnant, mais c'est un fait.
Il faut bénir Donald Trump pour son extraordinaire et constante action pour la vie et contre le meurtre des bébés ! Au sein du monde occidentatal, un tel positionnement et surtout une telle combativité sont uniques. Il faut prier activement pour sa réélection !
Toujours le même mensonge de ceux pour qui le bébé fait pas partie du corps de sa mère alors que l'ADN et le simple bon sens le démentent totalement...
j'ai l'impression d'une certaine confusion : ce que démontrent l'ADN et le simple bon sens est que l'enfant ne fait pas partie du corps de la ùère