Pour lutter contre la dénatalité, des municipalités rurales de Corée du Sud donnent jusqu’à 10 millions de won (8.000 euros) aux célibataires qui veulent trouver – acheter – une femme à l’étranger. Des sites internet proposent ainsi des femmes sur catalogue et s’occupent de tout (y compris les « frais de courtage », sic). La durée moyenne de la transaction est de 3,9 jours entre la première rencontre et le mariage.
73% des femmes sont des Vietnamiennes ; elles coûtent 14,2 millions de won. La Chinoise est moins chère : 10,7 millions (avec la subvention municipale elle est presque gratuite). La plus chère est l’Ouzbèke : 18,3 millions pièce…
L’âge moyen de l’homme est de 43,6 ans, celui de la femme 25,2.
Une étude réalisée sur 920 femmes (qui ne parlent pas un mot de coréen quand elles arrivent) indique que 42% d’entre elles ont subi des violences domestiques, et 68% un harcèlement sexuel.
Et cela est très officiellement supervisé par le ministère de la Famille et de l’Egalité de genre…
Commentaires
En Europe occidentale, c'est le contraire. Les Français et les Allemands font entrer chez eux des centaines de milliers d'hommes venus de l'étranger. C'est qu'ils préfèrent s'accoupler entre gens du même sexe et n'osent plus depuis bien longtemps battre eux-mêmes les femmes de leur pays.
A Saïgon il existe des hôtels pour touristes coréens cherchant une femme. Ils peuvent ainsi essayer chaque nuit une femme dans le but de se marier avec.
C'est une manière de prendre la main de quelqu'un sous la contrainte. Un peu comme ici où un président d'association prenait la main du président français comme-ci c’était son pantin ;
https://www.youtube.com/watch?v=Zw26IUENKK0
Alors qui est le plus ridicule ? La femme vietnamienne ou Macron ?
"A Saïgon il existe des hôtels pour touristes coréens cherchant une femme. Ils peuvent ainsi essayer chaque nuit une femme dans le but de se marier avec."
Il y a un vrai luxe en Asie, qui s'est perdu depuis longtemps en Europe. Moi qui ai traîné mon pucelage pendant si longtemps, j'aurais pu aller me dévoyer à Saïgon. Pour mes 45 ans, par exemple. Ça m'aurait fait du bien, croyez-moi. Et c'est vraiment une femme par nuit, ou on peut en essayer plusieurs la même nuit ? Je refuse en tout cas de jouer, même la plus belle, à la roulette russe.