Le Financial Times fait de George Soros sa « personnalité de l’année ». Avec cette légende : « Le philanthrope (sic) est devenu un porte-drapeau de la démocratie libérale, une idée assiégée par les populistes. »
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Le Financial Times fait de George Soros sa « personnalité de l’année ». Avec cette légende : « Le philanthrope (sic) est devenu un porte-drapeau de la démocratie libérale, une idée assiégée par les populistes. »
Commentaires
Tous ces pourfendeurs de l'identité et de la dénonciation du cosmopolitisme ne se rendent peut-être pas compte qu'ils ne font que de fournir des arguments de poids à l'antisémitisme politique du 19eme siècle.
En prétendant défendre le cosmopolitisme, l'affairisme sans morale, la haine de la civilisation chrétienne et des patries, ils avouent eux-mêmes que des membres de la communauté juive comme Soros sont les plus éminents représentants de ces combats.
Nous dirions un dixième de ce qu'ils avancent et donc reconnaissent comme véridique et nous serions accusés d'antisémitisme.
Entre temps, comme disait Bernanos, "Hitler a déshonoré l'antisémitisme" et il nous est devenu impossible d'aborder librement le sujet sans passer pour des racistes hitlériens.
Toujours aussi mignon, le blobfish. J'aime bien ces types qui ont déjà leur tête de réprouvé, les Rockefeller, les Soros, les Rothschild. Y aura pas à se casser pour les identifier, à la résurrection. Pardon si je l'ai peut-être déjà dit...
pourquoi ne titrez vous pas les juifs aux nez crochus tels qu'en eux mêmes ?
la grande finance synonyme pudique de la juiverie internationale
n'importe quoi.
Soros est un personnage assez détestable mais vos sous-entendus sont à côté de la plaque.
Passons sur le procès d'intention que rien ne justifie. La société ouverte est un concept qui a été imaginé par Henri Bergson, qui est à Kant ce que Macron est à Alexandre le Grand. Ç'a été repris par Karl Popper, qui est à Heidegger ce que Brigitte est à Blanche de Castille. Ça ne casse pas trois pattes à un canard : loi humaine contre loi naturelle, individualisme contre sacrifice, pluralisme, multiculturalisme, immigrationnisme. Au bout du bout, il y a le grand rêve talmudiste de guerre civile universelle entre les sales goyim supposément antisémites. Qui sont les racistes ?
toujours obsédé !
je vous ai déjà recommandé de vous défaire de votre "political correctness" et d'essayer de penser par vous-même
A Fred. C'est vous qui êtes à côté de la plaque. Je ne suis pas du tout antisémite. Mon titre veut seulement dire que le quotidien des financiers sait reconnaître les pires des leurs. Je ne sais pas si ce journal est dirigé par des juifs et je m'en moque car ce n'est pas le problème. Et si Soros n'était pas juif j'aurais écrit exactement la même chose.