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Gilets jaunes

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Il y aura sans doute un livre à écrire sur les trouvailles des « gilets jaunes », tant dans leurs slogans que dans leurs actions (car ils sont autrement plus créatifs que les élites qui les méprisent). Un joli petit exemple avec ces radars transformés en cadeaux de Noël…

Commentaires

  • Les robots du racket étatique (via une société privée à délégation de "service public") sont plus seyants avec cette livrée!
    Bravo aux imaginatifs opposants à la dictature.

  • On parle beaucoup d'une liste "Gilets jaunes" aux élections européennes : ce ne serait pas une bonne nouvelle pour le camp politique qui a ma préférence.

  • Je me demande où en en sera, le 26 mai. Et puis, à quoi ça sert, les Européennes ? Mais si on tient jusque-là, il faudra envoyer à Strasbourg un maximum de Gilets jaunes. Qu'ils aillent se rendre compte sur place que l''alcoolo du politburo et ses commissaires politiques ont d'autres maîtres que les élus des peuples.

  • Les gilets jaunes comme parti ? Une façon comme une autre de disperser l'opposition.

    Ces manifestations se sont déclenchées à cause des taxes. Grâce à l'Union Européenne, les grands groupes n'en payent que 4% au lieu des 28% demandés aux Français non délocalisés. Si les gilets jaunes ne demandent pas un frexit, ils mènent les gens dans une impasse. Pour l'instant, ce mot n'ayant toujours pas été prononcé, on est en droit de penser que l'équipe de conseillers-menteurs de Macron en est derrière. D'autant plus que les médias alignés en parlent. C'est un peu comme ces généraux qui apparaissent en ce moment, sans proposer un frexit et qui travaillent tous pour des groupes américains. Pierre de Villiers est lié au Boston Consulting Group (BCG), le leader mondial du conseil en stratégie d’entreprise œuvrant essentiellement pour celles américaines ! Ces traitrises ne sont pas exceptionnelles. Gérard Errera, ancien secrétaire général du Quai d’Orsay,est devenu président de Blackstone-France, un fonds d’investissements américain pour l’Europe. Jean-David Levitte (ancien conseiller diplomatique de Nicolas Sarkozy) et François Bujon de l’Estang (ancien ambassadeur de France à Washington) ont intégrés eux aussi des groupes américains. Tout s’achète et tout se vend, à condition d’y mettre le prix. Leur dieu : le veau d'or !

  • Par fidélité à l'onction reçue de Rémi, à cause de ce mandat du ciel, consciemment, inconsciemment, noblesse oblige, le cher et vieux pays ne peut mourir, lutte et à la fin gagne quand sa singularité est menacée

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