La cour d’appel de Montpellier a décidé qu’un homme soi-disant devenu femme ne peut pas être reconnu comme « mère biologique » (sic) de l’enfant qu’il a fait à sa femme.
Il s’agit d’un couple homme-femme qui a deux enfants, puis le mari décide de devenir une femme, mais comme il a toujours le service trois pièces il fait un troisième enfant à sa femme. Puisqu’il est devenu une femme il demande à être reconnu comme mère de l’enfant. En 2016 le tribunal rejette la demande. Le couple fait appel. La cour d’appel vient de donner raison au tribunal, en soulignant que « par l’acte de procréation masculine », le mari devenu femme avait fait le choix « de revenir de façon unilatérale » sur le fait d'être désormais reconnue comme une personne de sexe féminin et devait « en assumer les conséquences ».
On notera que l’avocat désigné pour défendre les intérêts de l’enfant s’est également opposé à la demande du père-mère avec cet argument : « Il est incontestable que ce couple est composé de deux femmes et il n’est pas question de revenir là-dessus » (sic, tant qu’on ne va pas voir sous les jupes), mais « la seule position logique juridiquement » est de déclarer le mari devenu femme comme le père biologique de l'enfant…
La cour d’appel accorde à l’homme soi-disant devenu femme le statut de « parent biologique ».
N.B.- Ne pas confondre avec l'Anglaise soi-disant devenue homme qui a accouché d’un enfant, mais refuse d’être mentionné(e) sur l’acte de naissance comme étant sa mère, car depuis qu'elle est un « homme », « il » ne peut pas supporter d’être désigné par un terme « intrinsèquement féminin ».
Commentaires
Ça devient compliqué leurs délires...
Ce ne serait pas plus simple pour lui d'assumer sa masculinité ?
Cela relève de la psychiatrie comme hier, et cela le redeviendra, même si les traitements risquent d'être plus radicaux, genre apprentissage du vol à partir du haut d'un immeuble.
Et on ne pourra pas accuser les chrétiens après avoir activement aidé l'islam à vaincre avec leurs débilités.