℟. Nos álium Deum nescímus præter Dóminum, in quo sperámus:
* Qui non déspicit nos, nec ámovet salútem suam a génere nostro.
℣. Indulgéntiam ipsíus fusis lácrimis postulémus, et humiliémus illi ánimas nostras.
℟. Qui non déspicit nos, nec ámovet salútem suam a génere nostro.
Nous, nous ne connaissons pas d’autre Dieu en dehors du Seigneur, en qui nous mettons notre espérance : lui qui ne nous méprise pas, ni ne retire son salut de notre race. Demandons son indulgence en répandant nos larmes, et humilions devant lui nos âmes.
Ce répons des matines est formé d’expressions du chapitre 8 du livre de Judith (la lecture de la semaine), dans une vieille version latine. Il figurait déjà, comme tant d’autres, dans le sacramentaire de saint Grégoire le Grand.