Titre :
Pyrénées : l'ourson sauvé est finalement décédé
Non. L’ourson est mort. Il n’est pas décédé. Le verbe décéder est un mot de la langue administrative et juridique. On le trouve déjà beaucoup trop souvent dans les articles évoquant la mort d’une personne, parce qu’on n’ose plus parler de la « mort ». Le disparu s’en est allé…
Mais si c’est abusif de l’employer dans le langage courant pour parler d’une personne morte, c’est proprement illégitime de l’employer à propos d’un animal.
On voit là l’influence insidieuse, qui s’installe, de l’idéologie vegan et antispéciste qui fait partie du négationnisme actuel de l’humanité.
Commentaires
Ciel, il faut trouver un responsable de cet affreux drame! Qui a laissé crever cette pauvre petite bête innocente et sans défense? Vite, un avocat! que fait le gouvernement?
Avis aux cinglés: on pourrait sauver 220000 bébés par an en France. Chiche?
"on pourrait sauver 220000 bébés par an en France."
... qui ne sont officiellement ni morts ni décédés.
Encore un miracle de "sainte" Simone, qui intercède sûrement pour nous au côté de sainte Geneviève.
Ne nous apitoyons pas si promptement, on ne sait même pas s'il était issu d'une grossesse désirée cet ourson ! Ne portons donc pas de jugement hâtif sur l'abandon de ce petit, car je vois déjà poindre les commentaires nauséeux arguant qu'une mère est indispensable à ses enfants - et glorifiant par la même la mère au foyer et l'interdiction de la GPA pour les couples invertis-.... Par contre qu'il naisse sans défense c'est dans l'ordre des choses cher Monsieur, ce n'est pas un éléphanteau, pas même un marcassin ! Un dauphin devrait savoir ces choses !
Votre observation est très juste.