Le secrétaire exécutif du Réseau ecclésial pan-amazonien (REPAM), Mauricio López, a annoncé les noms des cinq consultants sélectionnés pour le synode sur l’Amazonie : Marcia Oliveira, sociologue laïque spécialisée dans la culture et l’Histoire de l’Eglise en Amazonie, le Père Fernando Roca Alcázar S.J., spécialiste d’anthropologie et de territorialité amazonienne, le Père Paulo Suess, théologien et missiologue brésilien, le Père Justino Sarmento Rezende SDB, prêtre et religieux indigène appartenant au groupe ethnique Tuyuka, responsable de la spiritualité indigène et de la pastorale inculturée, et le Père Hughes Columbano, prêtre missionnaire et coordinateur du REPAM au Pérou.
Parmi ces représentants des avatars de la soi-disant théologie de la libération, et dans tout ce verbiage de technocratie socio-religieuse, je ne vois pas le mot « catholique »…
Et pourquoi préciser « sociologue laïque » ? C’est pour indiquer qu’elle n’est pas prêtre ?
J’aime bien aussi le jésuite spécialiste de « territorialité »…
Quant au mot « inculturé », il n’existe que dans le jargon de ces gens-là.
Commentaires
Et pourquoi préciser « sociologue laïque » ? C’est pour indiquer qu’elle n’est pas prêtre ?
S'il n'y a jamais eu de femmes dans le clergé séculier catholique, il y en a toujours eu dans le clergé régulier.
Des spécialistes sauf de l 'essentiel