Le patriarche d’Antioche des syro-orthodoxes, Ignace Ephrem II, a célébré une messe samedi dans les ruines de l’église Notre-Dame de Deir ez-Zor, pour la première fois depuis la libération de la ville (ou de ce qu’il en reste), l’une des plus disputées entre l’Etat islamique et l’Etat syrien. Il a également inauguré la clinique Saint-Ephrem, initiative conjointe du Patriarcat et de l’OMS. De nombreuses photos sur le site du patriarcat.
Commentaires
Curieuse la tenue bien rigoureuse des employée de ladite clinique.
Rien de neuf sous le soleil...
Si Rome même a connu cela en 846, sous le Pape Serge II, la basilique Saint-Pierre ayant été dévastée par ceux-là mêmes qui ont dévasté cette basilique de Deir-ez-Zor, a fortiori aucune église, sous aucune latitude, n'est à l'abri d'eux.Et cela, jusqu'à la fin des temps. Car ils sont génétiquement programmés, au mental, pour attaquer tout ce qui est chrétien.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Sac_de_Rome_(846)
Dites-vous bien que nul ne débarrassera la Création de leur pestilentielle existence que Celui-là seul qui a dit (dira aux milices célestes, le jour venu) : "Quant à mes ennemis, qui n'ont pas voulu que je règne sur eux, amenez-les ici et égorgez-les devant moi." (Lc 19, 27), signifiant par des mots matériels ("amenez-les", "égorgez-les") une réalité spirituelle des temps eschatologiques (privation de la vie divine, privation de la vision de Dieu, et donc le dam éternel).
D'ici là, jamais rien ne viendra à bout de cette montagne de pestilence et de dévastation, "mons pestifer", comme dit Jérémie. "Ecce ego contra te, mons pestifer, qui devastavit universam terram, ait Dominus" (Jr 51, 25).
Tandis que dans nos paroisses, nos diocèses on cherche fébrilement un prétexte pour fermer l' église , la transformer ou même la démolir.