Valérie Pécresse (encore elle, désolé) annonce l'expérimentation, à compter de février, d'arrêts de bus, la nuit, entre deux stations, à la demande des femmes, pour contrer les violences sexuelles.
« Il y a quelque chose de très spécifique qui m'a été demandé par les femmes, et notamment dans les quartiers populaires d'Ile-de-France: la possibilité par expérimentation d'arrêter les bus à la demande, la nuit, entre deux stations. »
Les quartiers populaires ? Ces quartiers où « le peuple » agresse les femmes ?
Mais qu’on mette donc en œuvre ce que disait Berthold Brecht (pour lequel la Pécresse a forcément de la tendresse) : « Si le peuple vote mal, qu’on change le peuple ». Si le peuple agresse les femmes, qu’on change ce peuple !
Commentaires
quel est le point ? moi ce qui me choque c'est qu'elle n'ose pas dire populaire = quartier peuplé de populations d'origine maghrébine.
pour le reste, si les femmes sont agressées et qu'on essaie d'y remédier, très bien.
que vient faire Brecht ici...
Qu on me dise clairement si l'immigration est une chance pour la France !
Car franchement cette Pecresse me semble un peu pélagienne avec ces arrêts de bus ...ne devrait elle pas opter pour l'ouverture aux autres cultures ?