Lu sur Gènéthique :
En Belgique, une décision de la Commission fédérale de contrôle de l’euthanasie (CFCEE) a conduit à la démission d’un de ses membres, médecin spécialiste et pro-euthanasie. Il a déclaré : « Cette commission ne remplit pas son rôle. Elle se prend pour un juge. Elle n’élargit pas l’application de la loi euthanasie, elle la viole ». La décision en débat concernait une patiente atteinte de démence et de Parkinson, euthanasiée « sur simple demande de sa famille », sans son avis et sans l’avis d’un second médecin, celui-ci n’ayant été consulté qu’une fois le décès intervenu. Devant cette « double violation manifeste de la loi », la Commission n’a pas transféré le dossier à la justice, car la majorité des deux tiers requise n’a pas été atteinte : « Les 6 membres (sur 16) qui n’ont pas souhaité transférer ce dossier à la justice ne l’ont pas fait par conviction du respect de la loi dans le cas d’espèce, semble-t-il, mais bien par volonté politique de défendre l’euthanasie dans n’importe quelle circonstance, y compris dans les cas de démence profonde, et par crainte qu’un renvoi en justice freine encore plus la pratique de l’euthanasie en Wallonie ».
Pour Willems Lemmens, professeur de philosophie à l’université d’Anvers et membre du Comité consultatif de bioéthique belge, « cette affaire confirme la ‘sacralisation malsaine’ de l’euthanasie dans notre société. Ni les médecins, ni la famille de la personne décédée n’ont considéré leur comportement comme répréhensible, et la commission leur a donné raison, en dépit des conditions légales violées ». En outre, cette affaire « n’est que la pointe de l’iceberg », un certain nombre d’euthanasies n’étant pas déclarées à la Commission de contrôle. Willems Lemmens considère qu’une « petite minorité de médecins fanatiques » présente au sein de la Commission prend « en otage le monde médical » : de plus en plus de médecins « témoignent de la pression morale qu’ils ressentent. Puisque l’euthanasie est de plus en plus perçue par la population comme un droit sur sa mort et sur celle de ses proches, c’est leur liberté thérapeutique et de conscience à eux, les praticiens, qui est mise sous pression ». La société devrait « entendre les doutes et les questions des médecins », estime-t-il.
Commentaires
Dans une culture de mort, les médecins sont les "grands prêtres" qui sont désignés pour sacrifier la vie, avant la naissance et en fin de vie.
O.K. Stavrolus.
On entre dans la vie et on en sort par la signature d'un médecin. C'est lui qui signe l'acte de naissance et celui de décès. Le législateur l'a voulu ainsi.
Ce n'est pas pour autant que de témoins ils doivent devenir acteur. Un avortement ou une "euthanasie" ne sont pas des actes médicaux. Ils ne soignent pas ils tuent.
En faire un acte médical c'est donner une réponse médicale à un problème social (ou économique). C'est dévoyer la médecine.
Shimon.
Sur l'euthanasie, il y a l'histoire d'un célèbre chanteur hollandais (il la raconte lui-même) qui a fait euthanasier sa mère à la demande de celle-ci. Maintenant, il se dit qu'elle avait sans doute peur de perturber ses tournées internationales, à cause des visites qu'il se sentait obligé de lui rendre à l'hôpital... Triste conte de Noël, n'est-ce pas.
L' "euthanasie" prétend supprimer la souffrance en supprimant le souffrant. Drôle de traitement!
Mais au fait supprimer la souffrance de qui? De la victime, De la famille, Du soignant? De la société? De la sécurité sociale?
à Shimon:
"Un avortement ou une "euthanasie" ne sont pas des actes médicaux ":
ils le sont devenus par la force de la loi républicaine (maçonnique donc luciférienne).
C'est l'esprit des Lumières.
Merci Picpus de souligner le coup de force permanent de Lucifer.
Mais « un fait est plus fort qu'un Lord-Maire ».
Aucun délire idéologique ne peut supprimer une réalité, quoi qu'en pensent certains.
Un homme est un homme et reste homme même mutilé, hormoné, chimiothérapié, psychothérapié. Il n'aura jamais de matrice ni d'ovaire et chacune de ses cellules est irrémédiablement marquée XY.
Une femme reste une femme, même avec un prothèse, castrée, mutilée, sans matrice ni ovaire, hormonée, psychothérapiée, elle n'aura jamais de testicules, et est marquée XX dans chacune de ses cellules.
C'est bien d'un délire idéologique de toute puissance que souffre notre société, avec une conviction délirante forte.
Le législateur peut bien décidé que certaines choses sont légales ou ne le sont pas, il peut décider de les rembourser ou non, les imposer par la force (comme les avortements en Chine), mobiliser le pouvoir judiciaire, décider que seuls des médecins peuvent faire certains actes, cela ne change pas la nature des choses.
Même effectuée par un médecin une euthanasie ne soigne jamais. Elle n'est pas, et ne sera jamais, un acte médical.
Shimon.
J'ajouterai encore que l'euthanasie ne soulage pas, elle tue, elle supprime purement et simplement le souffrant. C'est du délire.
Shimon.
Il faut lire évidemment : « Le législateur peut bien décider.. »
La torture effectuée par un médecin est-elle « un acte médical » ? La mise au point à l'initiative et sous la supervision de médecins du Zyklon B est-elle « un acte médical » ?
Est-il nécessaire de rappeler que les exécutions capitales ne sont jamais faites par un médecin mais par un bourreau ? Toutes les euthanasies ne sont-elles pas des exécutions capitales ?
Ne privons pas les bourreaux professionnels de leur gagne pain !
Simon.
Le meurtre effectué par un médecin est-il un acte médical ?
Des centaines de millions de meurtres, accompagnés souvent d'actes de torture et de barbarie, sont commis au nom de la "santé de femmes" par l'industrie de l'avortement, avec le sceau de la Loi (maçonnique)..
"Je ne provoquerai jamais la mort délibérément."
Ils vont devoir changer le serment d'Hippocrate, qui est d'un païen pré-chrétien, pour le conformer au paganisme post-chrétien.
Ils l'ont déjà fait pour l'avortement, ils ne vont pas se gêner pour l'euthanasie, Bien que les serment d'Hippocrate n'ait aucune valeur juridique, il a une valeur morale.
L'association médicale mondiale s'y met aussi en 2017
https://www.infocatho.fr/serment-dhippocrate-revu-corrige-ne-protege-plus-vie-a-naitre/
Le bien et le mal étant définis par des gouvernements lucifériens partout sur cette Planète et qui l'imposent par des lois immorales, le révolte contre Dieu approche de son zénit (donc de sa chute)