Le patriarche maronite S.B. le cardinal Bechara Boutros Raï va aujourd’hui à Riyad, accompagné de deux évêques. Il doit rencontrer le prince héritier Mohammed ben Salmane, puis Saad Hariri à l’ambassade du Liban où il passera la nuit avant de se rendre à Rome.
Commentaires
Ah!Bon.... Le Patriarche ne ramène pas en laisse au Liban le toutou des Saoudiens (donc des Israëliens) ?
Il passe par Rome? Aurait-il quelques places pour rapatrier des salariés des boîtes de Hariri, pas payés depuis de mois?
Chouette haire (sas) serait donc en début de faillite !!!
J'ai raisons de rouler en électrique et de ma chauffer au bois, surtout en plein paris !!!
Autant de revenus en moins pour ce guignol de bédouin. Si nous sommes des millions sa faillite va s'accélérer .........
.../... hari (ssa) ndlr.
Arabie saoudite : Le « réformateur libéral » est un tyran impulsif !
"Il devient de plus en plus difficile de dissimuler le bazar engendré par le prince clown saoudien Mohammad bin Salman.
La propagande sur le « réformateur libéral » est trop éloignée de son comportement manifestement tyrannique.
Le prince clown de la Barbarie saoudienne a pratiquement enlevé le Premier ministre libanais, l’a obligé à démissionner de ses fonctions en lui faisant du chantage, et le maintient depuis en résidence surveillée. C’est une attaque sans précédent contre la souveraineté du Liban et de tous les autres pays. Pourtant, les États-Unis et certains dirigeants européens prétendent lâchement que Saad Hariri est libre d’aller où il veut."
http://lesakerfrancophone.fr/arabie-saoudite-le-reformateur-liberal-est-un-tyran-impulsif
C'est du hooliganisme voyou d'Etat encore inédit dans les relations internationales et les mœurs diplomatiques.
Un Etat qui prend en otage le Premier ministre d'un autre Etat et l'oblige à démissionner depuis l'étranger où il est placé en résidence surveillée.
Mais en même temps, on ne sait pas si quelque part la "victime" n'est pas un peu consentante..
En effet, on peut nourrir des doutes concernant les états d'âme de l'intéressé, qui est avant tout un SUNNITE. Ne joue-t-il pas finement le rôle de celui "qui n'en peut mais", mais qui en réalité est de mèche tacite avec ses "geôliers", SUNNITES comme lui ?
Jouer la victime, pour mieux camoufler le chantage :
Ou bien vous évacuez le Hezbollah de mon gouvernement, ou bien je me maintiens "sous séquestre" en Saoudie chez mes commanditaires, qui ne supportent plus de voir le Hezbollah participer au pouvoir au Liban, tout comme moi-même je ne le supporte plus dans mon sectarisme antichiite.
Ainsi d'une pierre deux coups : il sauvegarde, muliplie même sa popularité personnelle au Liban (ce pauvre "séquestré" tout innocent... Hou ! ces méchants Saoudiens"...) et en même temps, ainsi à l'abri du soupçon, il exerce de fait le chantage ci-dessus,
Non, c'est bien vrai :
La CROIX pectorale a bien poignardé les yeux des Saoudiens dans leur palais.
Ici celle d'un évêque (à gauche sur la photo), bien en face sous les yeux de leur monarque,
Dans la photo d'en bas : le patriarche en compagnie de l'arlésienne Hariri.
http://www.lepoint.fr/monde/arabie-le-roi-salmane-recoit-le-patriarche-maronite-libanais-une-premiere-14-11-2017-2172248_24.php
En faisant une traduction dans Google Traduction de mot clés français en arabe, puis une recherche Google :
Le patriarche maronite avec l'héritier saoudien :
http://www.aljoumhouria.com/news/index/391352
Le patriarche avec le monarque saoudien :
http://www.7adramout.net/sabq/1568997.html?source=true
et
http://www.cedarnews.net/news-2/lebanon/2017/11/14/%D8%A7%D9%84%D8%AD%D8%B6%D9%88%D8%B1-%D8%A7%D9%84%D8%B3%D8%B9%D9%88%D8%AF%D9%8A-%D8%A8%D8%A7%D9%84%D8%A7%D8%B3%D9%85%D8%A7%D8%A1-%D9%81%D9%8A-%D9%84%D9%82%D8%A7%D8%A1-%D8%A7%D9%84%D8%A8%D8%B7%D8%B1/