La mélodie de l’alléluia est calquée sur celle du deuxième alléluia du 4e dimanche après Pâques. Au point même que les deux phrases se terminent par les mêmes sonorités : « non moritur » et « non auferetur » ; « non dominabitur » et « non corrumpetur ». On peut remarquer qu’il est clairement apparenté à l’alléluia Justi epulentur d’un commun des martyrs, qu’on a pu entendre le 9 octobre à la messe de saint Denis.
Allelúia, allelúia. Potéstas eius, potéstas ætérna, quæ non auferétur : et regnum eius, quod non corrumpétur. Allelúia.
Alléluia, alléluia. Sa puissance, est une puissance éternelle, qui ne sera pas emportée, et son règne est un règne qui ne sera point bouleversé. Alléluia.
Le voici par les moines du Barroux :
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