Saint Joseph de Cupertino continue de resplendir de nos jours comme un phare qui illumine le chemin quotidien de ceux qui ont recours à son intercession céleste. Sa renommée s'est popularisée sous le nom du "Saint des lévitations" en raison de ses fréquentes extases et de ses extraordinaires expériences mystiques; il invite les fidèles à répondre aux attentes les plus intimes du cœur ; il les encourage à rechercher le sens profond de l'existence et, en dernière analyse, il les pousse à rencontrer personnellement Dieu, en s'abandonnant pleinement à sa volonté.
Patron des étudiants, saint Joseph de Cupertino encourage le monde de la culture, en particulier de l'école, à fonder son savoir humain sur la sagesse de Dieu. Et c'est précisément grâce à sa docilité intérieure aux suggestions de la sagesse divine que ce saint particulier peut se présenter comme un guide spirituel pour toutes les catégories de fidèles. Aux prêtres et aux personnes consacrées, aux jeunes et aux adultes, aux enfants et aux personnes âgées, à quiconque désire devenir disciple du Christ, il continue d'indiquer les priorités que ce choix radical comporte. La reconnaissance du primat de Dieu dans notre existence, la valeur de la prière et de la contemplation, l'adhésion passionnée à l'Evangile "sine glossa", sans compromis: telles sont certaines des conditions indispensables pour être des témoins crédibles de Jésus, recherchant avec amour son saint Visage. C'est ce que fit ce mystique extraordinaire, disciple exemplaire du "Poverello" d'Assise. Il brûla d'un tendre amour pour le Seigneur et vécut au service de son Royaume. A présent, du ciel, il ne cesse de protéger et de soutenir ceux qui, suivant ses pas, entendent se convertir à Dieu et se mettre en route de façon décidée sur la voie de la sainteté.
Dans la spiritualité qui le distingue, ressortent les traits typiques de l'authentique tradition franciscaine. Epris du mystère de l'Incarnation, Joseph de Cupertino contemplait extasié le Fils de Dieu né à Bethléem, en l'appelant affectueusement et secrètement le "Bambinello" (petit enfant). Il exprimait presque extérieurement la douceur de ce mystère en embrassant une image de l'Enfant Jésus en cire, en chantant et en dansant du fait de la tendresse divine répandue abondamment sur l'humanité dans la grotte de Noël.
Sa participation au mystère de la Passion du Christ était émouvante. Le Crucifix était toujours présent dans son esprit et dans son cœur, parmi les souffrances d'une vie incomprise et souvent pavée d'obstacles. Il versait de chaudes larmes en pensant à la mort de Jésus sur la Croix, en particulier car, comme il aimait le répéter, ce sont les péchés qui ont transpercé le corps immaculé du Rédempteur sous le marteau de l'ingratitude, de l'égoïsme et de l'indifférence.
Un autre aspect important de sa spiritualité fut l'amour de l'Eucharistie. La célébration de la Messe, ainsi que les longues heures passées en adoration devant le tabernacle, constituaient le coeur de sa vie de prière et de contemplation. Il considérait le sacrement de l'Autel comme une "nourriture des anges", un mystère de la foi laissé par Jésus à son Eglise, un Sacrement où le Fils de Dieu fait homme n'apparaît pas aux fidèles face à face, mais cœur à cœur. Avec ce suprême mystère, affirmait-il, Dieu nous a donné tous les trésors de la toute-puissance divine et nous a révélé l'abondance de sa miséricorde divine. Du contact quotidien avec Jésus Eucharistie, il tirait sérénité et paix, qu'il transmettait ensuite à ceux qu'il rencontrait, rappelant qu'en ce monde, nous sommes tous pèlerins et étrangers en chemin vers l'éternité.
Saint Jean-Paul II, extrait de son Message au ministre général de l’ordre franciscain des frères mineurs conventuels pour le 400e anniversaire de la naissance de saint Joseph de Cupertino.
Commentaires
SAINT Jean Paul II ?
Vous parlez de celui qui a "relancé" le dialogue interreligieux lors de cette réunion d'Assise en 1986, ce dialogue que vous abhorrez à juste titre, comme beaucoup de catholiques soucieux de vérité ?
Vous parlez de celui qui a confirmé les dérives de Vatican II envers et contre tout, notamment celles inscrites dans la constitution pastorale "Gaudium et spes" ?
Vous me surprenez , décidément.
Hélas, ils sont nombreux ceux qui se prennent pour des intransigeants et qui se comportent comme des modérés, ceux-là même que vous n'appréciez guère.....et cette contradiction si bien cultivée ne fait qu'aggraver la crise spirituelle que l'on affirme dénoncer.
NOTA : c'est une remarque indépendante du texte que vous citez à l'appui de cette fête inscrite au calendrier liturgique, un texte pour lequel je n'entends pas faire de commentaire.
Bonjour,
A. Il est certain que bon nombre de catholiques considèrent en substance,
- que le pontificat de Jean-Paul II constitue un objet-totem, exclusivement placé sous le signe du recentrage salutaire,
et
- que le pape François est le premier pape qui a une vision et une action hétérodoxes, depuis le début de la période située en aval de la fin du premier après-Concile sous Paul VI.
B. Or, d'une part le pontificat de Jean-Paul II n'est pas exclusivement placé sous le signe du recentrage orthodoxe, d'autre part son pontificat est caractérisé par ce qui constitue, chez bon nombre de catholiques "conservateurs", ou "traditionnels", un véritable sujet-tabou : sa conception et sa pratique du dialogue interreligieux, qui n'ont certes pas attendu Assise 1986 pour commencer à sévir, depuis l'intérieur de l'Eglise et le sommet de la hiérarchie, puisque l'on en trouve un signe avant-coureur dans le numéro 6 de l'encyclique Redemptor hominis, publiée en mars 1979.
C. Sous Jean-Paul II, dans les années 1980, 1990, et dans la première moitié des années 2000, internet et les réseaux sociaux n'existaient pas encore, ou n'étaient pas utilisés autant qu'à l'heure actuelle, en outre il faut bien voir qu'au sein de son Magistère et de sa pastorale relatifs au dialogue interreligieux, Jean-Paul II a péché avant tout, sinon seulement, par élusion et par omission.
D. Si l'on préfère, Jean-Paul II a surtout péché par occultation presque permanente, ou par minimisation presque systématique, du fait que les religions erronées sont vraiment erronées ou, en tout cas, du fait que les régimes de croyance erronés (de l'animisme au théosophisme), sont vraiment porteurs de bien des erreurs, ou propices à bien des erreurs, sur Dieu, sur l'homme et sur le monde, et comportent ou constituent des entraves ou des obstacles, sur le chemin qui conduit jusqu'à la "rectitude théologale de la foi", pour reprendre l'une de ses expressions (cf. le numéro 36 de Tertio Millenio Adveniente).
E. Nul n'ignore que bien des catholiques, rassurés par l'attitude conservatrice, sinon restauratrice, de Jean-Paul II, dans les domaines de la liturgie, des sacrements, de la doctrine morale et de la doctrine sociale, n'ont pas vu "où est le problème", au sein de la conception et de la pratique wojtyliennes du dialogue interreligieux, mais le problème ne réside pas seulement dans ce que Jean-Paul II a pris bien soin de dire et de faire, car il réside avant tout dans ce que Jean-Paul II a pris bien soin de ne pas dire et de ne pas faire, en direction des croyances non chrétiennes et des croyants non chrétiens, pendant un peu plus d'un quart de siècle.
F. La crise que le catholicisme contemporain inflige à lui-même, au moins depuis le début de l'avant-Concile sous Pie XII (les quatre décennies de théologie néo-moderniste qui ont précédé la fin des années 1960 ayant été, pour une partie du Concile, ce que la philosophie des Lumières a été, pour une partie de la Révolution française), ce qui ne veut évidemment pas dire que tout allait bien, auparavant, ni que tous les théologiens néo-modernistes sont dépourvus d'arguments, commencera à s'arrêter quand les catholiques commenceront à en finir avec les principes, doctrines, pratiques, tendances les plus propices à l'adogmatisme ad intra, à l'immanentisme, et à l'unanimisme ad extra, le dialogue interreligieux impulsé, et longtemps incarné, par Jean-Paul II, constituant l'un des domaines de mise en oeuvre de ces principes, doctrines, pratiques et tendances.
Mais le caractère hétérodoxe, hétérodoxe par auto-censure, de ce dialogue interreligieux constitue, encore aujourd'hui, un redoutable, ou remarquable, sujet-tabou.
Bonne journée.
A Z
Cher MONSIEUR ou chère MADAME, ou chère MADEMOISELLE (mieux que "bonjour", en usage sur des sites informatiques où l'on se moque de la politesse),
à dire vrai, au terme de cet exposé rhétorique, on voit mal quelle est votre conclusion : l'attribution du qualificatif "saint" donné à Jean-Paul II est-elle justifiée ou non ?
En outre, il me semble que votre exposé rhétorique aurait dû surtout comparer les critères d'attribution de ce qualificatif donnés à un autre pape, surtout s'il est contemporain ; je veux parler de Pie X, pour que l'on puisse en conclure que décidément, la nouvelle procédure de canonisation n'est plus un acte du magistère infaillible.
Enfin, vous ne semblez pas être impressionné par le fait que le pape Jean-Paul II, par cette rencontre d'Assise et par certains abus de médiatisation (à la limite du cabotinage, hélas !) a pu abuser les fidèles qui doivent respecter les paroles du pape dont la mission première est de veiller à l'intégrité et à l'autorité (pas seulement déclarative, mais effective : de la discipline des sacrements jusqu'à certains actes diplomatiques) du magistère infaillible.
Meilleurs sentiments.
Limousin,
Je ne suis tout simplement pas qualifié, et il n'y a pas que moi qui ne le suis pas, pour répondre à la question de savoir si l'attribution du qualificatif "saint" donné à Jean-Paul II est justifiée ou non.
De même, je ne suis pas davantage qualifié et, là aussi, je ne suis pas le seul à ne pas l'être, pour comparer les critères d'attribution de ce qualificatif donnés à un autre pape, surtout s'il est contemporain.
En outre, ce n'est pas parce que je m'efforce de m'exprimer d'une manière mesurée, modérée, précise, prudente, que je ne suis pas affecté, et même attristé, par le fait que, au moins depuis la fin des années 1970, le dialogue interreligieux semble souvent et vraiment avoir, dans les faits, plus d'autorité ou, de facto, plus d'importance et plus d'influence que le Credo, ou que l'explicitation de la spécificité de la foi catholique, au sein-même de l'Eglise catholique.
Enfin, ou presque, deux positions de principe, me semble-t-il, nuisent à la compréhension de ce dont il est question ici :
- la première consiste à considérer qu'il est impossible que le dialogue interreligieux soit porteur d'hétérodoxie, ou soit propice à l'hétérodoxie, notamment parce qu'il a été mis en oeuvre et en valeur par un Souverain pontife dont les qualités sont aussi considérables qu'incontestables par ailleurs ;
- la deuxième consiste à considérer que le dialogue interreligieux est diabolique ou, en tout cas, est une hérésie, et que les Souverains pontifes, mêmes très intelligents et bien intentionnés, qui le mettent en oeuvre et en valeur, sont diaboliques ou, pour le moins, sont des hérétiques.
A tort ou à raison, j'essaie de ne pas diaboliser ET de ne pas idéaliser le dialogue interreligieux, ou plutôt la conception actuellement dominante des réflexions sur les croyances non chrétiennes et la pratique actuellement dominante des relations avec les croyants non chrétiens, cette conception et cette pratique se manifestant surtout depuis le début du pontificat de Jean-Paul II, mais cela ne fait pas de moi un "neutraliste", face à cette conception et face à cette pratique, ni un juge, qualifié, de la sainteté de Jean-Paul II.
Je vous prie de bien vouloir m'excuser, compte tenu de ma "rhétorique" décevante, et je vous souhaite une bonne journée.
A Z
Jean-Paul II est mort en saint, au soir du samedi de Pâques, à l'orée de la fête de la Miséricorde divine qu'il avait instituée, et en mettant un sceau sur son enseignement moral. En voulant mourir chez lui, c’est-à-dire dans les appartements du Pape, sans les secours devenus inutiles de la médecine, il a montré que le refus absolu de l’euthanasie n’était pas un blanc seing pour l’acharnement thérapeutique.
Jean-Paul II a été un prophète. Avant tout le monde il a combattu l’idéologie du genre (dès 1995, explicitement, à la conférence de l’ONU à Pékin), et entre 1979 et 1984 par son enseignement sur la « théologie du corps », dont le premier manuscrit était intitulé « Homme et femme il les créa ». (Voir ma conférence sur le sujet.)
Je m’étais demandé pourquoi un pape se battait-il à ce point contre l’avortement et l’euthanasie, alors que cela relève simplement de la morale naturelle. C’est qu’il avait vu avant tout le monde, je répète, qu’il s’agissait de la dernière frontière avant la barbarie finale de la négation de la nature humaine. Et sans nature humaine il n’y a pas de rédemption…
En ce qui concerne Assise, j’avais alors défendu cette initiative, et je n’avais pas été le seul. L’abbé Luc Lefèvre, peu avant sa mort, écrivit deux grands articles sur le sujet : « La théologie d’Assise » et « Prier à Assise », et il en prévoyait un troisième, tant il considérait que c’était important.
On peut trouver sur internet le texte de l’article que j’avais écrit sous mon vrai nom pour le premier numéro de Képhas.
http://www.revue-kephas.org/02/1/Kerbourch49-52.html
Et ce ne sont là que deux aspects de ce pape, qui est aussi celui de la Sainte Vierge et du Saint-Esprit, notamment. Et qui est le personnage grâce auquel la Pologne est aujourd’hui plus catholique que tout autre pays.
Votre propos a le mérite de la clarté et je vous en remercie.
Je n'en suis pas franchement d'accord mais avant de vous dire pourquoi, il faudrait que mon interlocuteur d'hier (AZ) me réponde.
Pour AZ, en réponse à son message d'hier.
On ne pas dire que votre réponse soit très franche.
Elle est typique du comportement de tous ces modérés qui savent très bien qu'il existe une crise de gouvernement de l'Eglise, que le magistère dit pastoral, autrerment dit opportuniste, cherche à supplanter le magistère infaillible, mais ne feront rien pour s'en plaindre et agir en consèquence, car c'est plus confortable de rester dans l'entre-soi, de faire des réverences aux papes comme s'ils étaient des dieux vivants, même si leurs déclarations sont à la limite de l'héresie et sont accompagnés de gestes qui ressemblent à du cabotinage.
C'est plus confortable certes mais avec une telle attitude on ne s'étonnzra pas de la lâche incapacité des modérés à combattre les dérives des lois sociétales, à soutenir activement les auteurs des "dubia", à prendre des responsabilités dans l'ordre politique et social.
Aprés tout, tant que l'on a une belle situation, que ses enfants fréquentent les bons rallies et les bonnes écoles (de commerce ou d'ingénieurs ; pas les facs de lettres car il y a trop de gauchistes) et que l'on a une messe de saint Pie V à proximitè, l'enfer suvr la terre qui s'instaure en ce moment sera bien supportable.
Aux lecteurs de ce bloc- notes de réagir à présent et à moi de répondre dès que possible à M Daoudal.
La réponse d'AZ est au contraire très franche. Sauf si vous confondez la franchise et le jugement à l'emporte pièce. Or il y a là matière à réflexion, et je regrette que vous tombiez dans la caricature et le jugement téméraire,
En effet les analyses d'AZ sont précises, pertinentes, malgré un vocabulaire spécifique un peu déroutant. Elles incitent à la réflexion et à penser par soi-même, pour se faire une opinion juste. AZ montre les causes de la crise, à nous d'en tirer les conclusions, il ne nous force pas . J'en, suis d'autant plus admiratif que moi même je me laisse aller à des jugements quelquefois impulsifs.
Le lien que vous citez de la revue Kephas sur ASSISE est un texte assez scandaleux puisque vous citez Pie XI à contre sens de ce qu'il dit par ailleurs !
Je me borne ici à rappeler son enseignement dans MORTALIUM ANIMOS (contre l'oecuménisme) encyclique datant du 6 janvier 1928 :
Je vous rappelle au passage qu'un BOUDDHA fut mis sur le tabernacle de l'autel de l'église d'ASSISE, et que ce fut là une profanation...
ENSEIGNEMENT DE PIE XI (seulement le début de l'encyclique, déjà bien explicite !) :
« Jamais peut-être dans le passé, les esprits des hommes n’ont été saisis aussi fort que nous le voyons de nos jours, du désir de renforcer et d’étendre pour le bien commun de la société hu-maine, les relations fraternelles qui nous lient à cause de notre communauté d’origine et de na-ture.
Les peuples, en effet, ne jouissent pas encore pleinement des bienfaits de la paix ; et même, çà et là, de vieilles et de nouvelles discordes provo-quent l’éruption de séditions et de guerres civiles. Par ailleurs, la plupart, assurément, des contro-verses qui touchent à la tranquillité et à la pros-périté des peuples ne peuvent d’aucune manière recevoir de solution sans l’action concertée et les efforts des chefs des États et de ceux qui en gè-rent et poursuivent les intérêts. On comprend donc aisément, et cela d’autant mieux que plus personne ne refuse d’admettre l’unité du genre humain, pourquoi la plupart des hommes dési-rent voir, au nom de cette fraternité universelle, les divers peuples s’unir entre eux par des liens chaque jour plus étroits.
C’est un résultat semblable que d’aucuns s’efforcent d’obtenir dans les choses qui regar-dent l’ordre de la Loi nouvelle, apportée par le Christ Notre Seigneur. Convaincus qu’il est très rare de rencontrer des hommes dépourvus de tout sens religieux, on les voit nourrir l’espoir qu’il serait possible d’amener sans difficulté les peuples, malgré leurs divergences, religieuses, à une entente fraternelle sur la profession de cer-taines doctrines considérées comme un fonde-ment commun de vie spirituelle. C’est pourquoi, ils se mettent à tenir des congrès, des réunions, des conférences, fréquentés par un nombre ap-préciable d’auditeurs, et, à leurs discussions, ils invitent tous les hommes indistinctement, les in-fidèles de tout genre comme les fidèles du Christ, et même ceux qui, par malheur, se sont séparés du Christ ou qui, avec âpreté et obstination, nient la divinité de sa nature et de sa mission.
De telles entreprises ne peuvent, en aucune manière, être approuvées par les catholiques, puisqu’elles s’appuient sur la théorie erronée que les religions sont toutes plus ou moins bonnes et louables, en ce sens que toutes également, bien que de manières différentes, manifestent et signi-fient le sentiment naturel et inné qui nous porte vers Dieu et nous pousse à reconnaître avec res-pect sa puissance. En vérité, les partisans de cette théorie s’égarent en pleine erreur, mais de plus, en pervertissant la notion de la vraie religion ils la répudient, et ils versent par étapes dans le naturalisme et l’athéisme. La conclusion est claire : se solidariser des partisans et des propagateurs de pareilles doctrines, c’est s’éloigner complètement de la religion divinement révélée. [...] »
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