Le parquet de Côme en Italie a ouvert une enquête suite à l’arrivée à Albavilla de la dépouille d’un Italien mort en Suisse de « cause non naturelle », selon le certificat de décès.
L’homme en question, un ingénieur de 62 ans, est allé en Suisse pour bénéficier d’un « suicide assisté » organisé par Dignitas (10.000 €). Il avait prévenu sa commune qu’il voulait mourir parce qu’il souffrait d’une profonde dépression. Il n’avait aucune maladie corporelle.
Le juge a ordonné une autopsie et va envoyer une commission rogatoire en Suisse ; il va convoquer un ami de l'ingénieur qui l'aurait conduit à la frontière italo-suisse.
Commentaires
Il y a là toute une mise en scène par les associations suisses "dignitas" et "exit" qui prospectent des "futurs" suicidés dans toute l'Europe parmi les personnes seules, malades et/ou dépressives. A 10 000 € l'assassinat on peut se payer des "rabatteurs" et des "visiteurs". Et on habitue peu à peu les populations pleurnicheuses à accepter l'inacceptable.
Pourquoi a-t-il voulu revenir dans sa commune? Pour donner plus de publicité à son suicide. Pour un supplément modique "dignitas" vous fait incinérer et jeter les cendres à une déchetterie helvète.
Prions pour que le juge italien ne lâche pas le morceau.
Dix mille euros pour une piquouse, et ils osent s'appeler Dignitas !
J'ai un très "mauvais" esprit, et je ne peux m'empêcher de penser que les promoteurs de cette association ne sont pas des Helvètes de souche, et encore moins de Chrétiens.
Cupiditas devrait être l'enseigne de leur raison sociale.
Le plus amusant, si l'on peut dire, est que ce sont des associations à but non lucratif...