Il est proprement scandaleux que l’équipe de chercheurs de Santé publique France, de l'Inserm et de l'équipe nationale d'intervention en prévention et santé pour les entreprises (ENIPSE) qui a pondu l’étude sur le sida publiée dans le Bulletin épidémiologique hebdomadaire, et les responsables de ce bulletin, ne soient pas traduits devant la justice.
En effet, selon cette étude (à laquelle je dénie évidemment toute fiabilité, au nom des valeurs de la République), la situation de l'épidémie de VIH chez les jeunes hommes homosexuels français serait « extrêmement préoccupante ».
Inutile de préciser que si par impossible la réalité était homophobe il serait plus homophobe encore de le souligner.
Mais à quoi servent donc les lois anti-discrimination ?
Commentaires
Un petit témoignage de conférencier, sur les sujets du SIDA, dont je suis atteint depuis mon adolescence suite à des désordres sexuels et à la drogue, que j'ai pratiqué à cette période. Au début de mes interventions, en 1994, le sujet tabou était l'avortement, conséquences chez beaucoup de femmes d'une sexualité sans règles ni responsabilité. Puis, progressivement, suivant la courbe du matraquage politico-médiatique, le sujet tabou fut l'homosexualité que je n'ai pas pratiqué mais qui est au coeur de la pédagogie du SIDA et qu'on ne peut éviter d'aborder quand on en parle.
Chez les homosexuels masculins, la pratique de la sodomie est incontournable et représente le risque numéro un de transmission avec la piqure intraveineuse, le professeur Montagnier affirmant que c'était équivalent comme risque. Donc, la prévention avec le préservatif y est particulièrement aléatoire, car viol de l'ordre naturel avec les risques inhérents. Mais un autre risque vient s'y ajouter, celui de la multiplication des partenaires sexuels, des dizaines par an, parfois dans des conditions sordides, avec usage de drogues altérant la conscience. Un homme homosexuel va pouvoir avoir un millier de partenaire durant sa vie sexuelle. Chez un hétérosexuel, on parlerait d'un obsédé sexuel, pas chez les homosexuels ou on sépare une relation avec une personne d'un rapport compulsif, la fidélité n'étant qu'un mot chez eux.
Pour résumer, le lobby homosexuel, surtout AIDES et ACT-UP la branche activiste, en mettant la main sur la "lutte contre le SIDA, ont interdit de distinguer les types de rapports particulièrement à risque de transmission, donc à proscrire car trop risqué, au prétexte de "ne pas discriminer." Résultat, la prévention a été imprécise et la propagande homosexuelle, en se victimisant comme victimes du SIDA comme une discrimination, ont fait de la "lutte contre le SIDA" une propagande active pour propager auprès des jeunes, parfois très jeunes, les moeurs homosexuels comme normatifs et interdire toute remise en cause de ces pratiques comme discriminatoire. Ils ont objectivement contribué à propager le SIDA, il suffit de regarder des images de la Gay Pride.
J'ai eu de nombreuses difficultés dans certaines écoles dites catholiques à en parler librement, parce que certains me la jouait à l'affectif, qui aveugle la raison, et, en conférence publique, il m'est arrivé de me retrouver avec le lobby gay venu s'opposer à ma libre expression.
Je pense que cette stratégie du mensonge pour, comme des charognards, profiter d'un malheur qui ne touchait pas qu'eux et que chacun d'entre eux pouvait éviter s'il le voulait par une astreinte morale, a créé une confusion et un scandaleux mensonge sur la prévention du SIDA. De nombreuses victimes leur doivent leur sort faute d'avoir été clairement prévenues à temps.
Et la nature, à la différence de Dieu, ne connaît ni pitié ni miséricorde.
Je trouverais scandaleux qu'on me permette de donner mon sang en sachant qu'il est contaminé alors que je suis devenu chasteté et abstinent depuis des décennies. Pour des personnes qui vivent dans le désordre et le déni, à plus forte raison, cet égoïsme, nous avons droit sinon vous nous discriminez, est un signe flagrant que leur comportement ne peut en aucun cas être accepté comme normatif dans notre société.
Même si des lois iniques empêchent de pouvoir le dire librement, c'est pourtant une vérité libératrice y compris pour les personnes homosexuelles.
C'est bien le sexe anal qui est un risque majeur, toujours caché voir nié.
Tout épidémiologiste, tout infectiologue, sait que même lorsque la charge virale est nulle ou proche de zéro, le patient atteint du sida reste porteur du virus du VIH. Le virus se réfugie dans la sous-muqueuse ano-rectale, qui constitue un réservoir important, pratiquement inaccessible à la chimiothérapie car peu vascularisée.
Contrairement à l'homosexualité féminine, le sexe anal entre hommes met en contact deux muqueuses, accueillantes au virus.
C'est un mensonge que de prétendre que le préservatif protège complètement de la transmission du virus. Efficace contre les maladies sexuellement transmissibles bactériennes, il l'est beaucoup moins par rapport à une particule virale infiniment plus petite.
Encourager la sodomie c'est faire prendre des risques.
J-P Lucas (M.D.)
complément d'information à la note du mardi 18 juillet 2017, 21h22 -
Pas seulement ano-rectale, mais la sous muqueuse ano-resto-colique.
Mais le sida se transmet aussi (beaucoup moins) au cours de rapports hétérosexuels. Ce qui n'est pas contestable c'est que en France, en Europe et dans le monde, il y a, dans le groupe des sidaïques, une sur-représentation importante des hommes homosexuels (pas des femmes). L'autre facteur important de risque est la toxicomanie avec échange de seringues.
DSM
Le DSM est une classification systématique des maladies mentales sous contrôle américain.
Toutes les associations médicales du monde entier dépendent des ressources publicitaires et du sponsoring des firmes pharmaceutiques. Le traitement du sida, avec des molécules onéreuses, est une source de revenu importante, même si des génériques ont réduit les profits.
A la fin du millénaire dernier et au début de celui-ci, le DSM classait l'homosexualité dans le chapitre des troubles du comportement, avec l'alcoolisme, la boulimie/anorexie, la toxicomanie, etc. Plus précisément dans la section des troubles du comportement sexuel avec la zoophilie, la nécrophilie, la pédophilie, ..
Ce n'est que récemment, sous la pression des lobbys et des obédiences (qui avaient mis ce point à leur programme d'action) que l'homosexualité a été retirée des pathologies.
J-P Lucas (M.D.)
Et pourtant elle tourne...
Cher Monsieur Daoudal,
Ne savez-vous pas que traiter quelqu'un d'homophobe est une façon de mettre fin à la discussion, de fermer le dialogue, tout comme le traiter de nazi, fasciste ou communiste, catho, juif, rétrograde, conservateur, ennemi du progrès, .. ?
Lévi.
Cher Dr. Lucas,
Vous appelez-vous vraiment Lucas et êtes-vous vraiment médecin ? Et vous quels sont vos troubles du comportement ? Où se cache-t-elle votre homosexualité à vous ?
Vous devriez savoir qu'il est toujours très difficile de se défaire d'une addiction ou d'un comportement compulsif qui s'enracinent dans des « expériences marquantes » de l'adolescence, de l'enfance, voir de la très petite enfance.
Si certains y parviennent, ce chemin n'est pas donné à tous. Tous sont vos frères, vos semblables, et leur montrer au moins du respect à défaut de tendresse est la moindre des choses. « Hypocrite, ôte d'abord la poutre de ton œil, et alors tu verras clair pour ôter la paille de l'œil de ton frère. » Même si la vérité doit être dite, et d'abord aux homosexuels, l'amour doit être premier.
Tout le monde sait qu'il est très difficile de se défaire d'une addiction. Ce n'est pas une raison pour ne pas dire la vérité.
Et dire objectivement la vérité ce n'est pas manquer de charité. Au contraire. Ce qui n'empêche pas évidemment de parler autrement à une victime d'addiction. C'est notre pape actuel qui confond les deux plans pour ne plus dire la vérité. Ce n'est pas un exemple à suivre.
J'ignore qui est "J-P Lucas (M.D.)". Ce qu'on peut dire, c'est que l'abréviation MD pour le diplôme nécessaire à l'exercice de la médecine est caractéristique des Etats-Unis et du Canada.
Pas de la France à ma connaissance.
Oui mais c'est de la faute à la manif pour tous.
Non, je ne caricature pas la pensée dominante, je la cite.
Réf : http://www.liberation.fr/france/2017/07/18/vih-beaucoup-de-jeunes-gays-ne-savent-pas-comment-ca-se-transmet_1584633
Citation : Comment expliquez-vous que les jeunes soient moins sensibilisés qu’avant ?
Récemment, la parole homophobe s’est libérée, avec le débat sur le mariage pour tous notamment. Les jeunes homosexuels ne veulent pas dire ce qu’ils sont, je parle en connaissance de cause parce que j’ai été un jeune gay moi aussi. Lorsqu’ils évoluent dans un cadre qui cultive le tabou, à l’école, dans la famille ou entre amis, ils n’évoquent pas leur sexualité. Sur le terrain, on rencontre énormément de jeunes gays qui ne connaissent même pas les modes de transmission des MST.
pourquoi masquer ainsi que la sodomie n'est pas spécifiquement homosexuelle, et qu'elle se pratique aussi entre homme et femme ?
cela aussi peut induire en erreur les malheureuses qui vous font confiance et vont se faire contaminer par un partenaire peu scrupuleux
« la parole homophobe s’est libérée » ? Ne serait-il pas plus proche de la réalité de dire que la langue de bois et les mensonges « main stream » Ne peuvent plus cacher la réalité. Que les délires idéologiques s'effondrent devant la réalité indéniable ? Que le désir ne peut pas être tout puissant pour tordre la réalité ?
Les organes sexuels sont « génitaux », « reproducteurs ». C'est là leur fonction première et primordiale. La reproduction sexuelle se fondant sur la rencontre de deux manques complémentaires pour former un nouvel être, la recherche d'un partenaire en harmonie complémentaire est essentielle. Que cette union puisse (parfois) donner du plaisir ne fait du plaisir la raison fondamentale de la sexualité.
Remettons les choses en perspectives. « Il faut manger pour vivre et non vivre pour manger ». « On creuse sa tombe avec les dents ».
@ Théofrède - mercredi 19 juillet 2017, 18h11
Bien sûr Théofrède mais, à part l'hétéro sexualité, la sodomie hétérosexuelle consiste aussi à privilégier exclusivement la jouissance et la soumission à un désir tout puissant qui fini par être destructeur.
La contamination homme femme est possible lors de rapports anaux mais aussi lors de rapports vaginaux.