Un homme s’est livré hier à un rodéo automobile sur la rocade de Montauban puis est entré en ville. Pris en chasse par la police municipale, il a abandonné son véhicule, a poignardé un passant et a agressé un couple avant d’être neutralisé par la police.
L’homme a crié « Allahou Akbar », et naturellement c’est un déséquilibré.
L’ineffable maire de Montauban, Brigitte Barèges, a confirmé sur i-télé : « Il a proféré les insultes habituelles Allah Akbar etc. » Sic.
Il est urgent que les psychiatres se penchent sur ce phénomène. Car auparavant les déséquilibrés ne disaient jamais « Allah Akbar ». Pourquoi désormais tous les déséquilibrés qui agressent les passants au couteau disent-ils ces « insultes » devenues « habituelles » ?
Commentaires
Pour autant je pense sincèrement qu'il est improbable de citer à torts et à travers ces deux mots ( A... A...). Car à chaque fois que vous l'écrivez, chaque fois que vous le prononcez, ou que quelqu'un le prononce ou l'écrit c'est un peu plus une allégeance à l'obscurantisme anti-christique qui se cache derrière, dont les adeptes répondent en choeur la suite ...... Renforçant l'influence et la présence satanique.
Ne suffirait-il pas simplement écrire : " comme tout terroriste modéré c'est au cri de guerre A.... A.... qu'il etc......."
reconnaissez quand même que Satan, si c'est bien lui qui les inspire, fait reconnaître et proclamer la grandeur de Dieu par ses victimes
question : pourquoi en arabe et pas en français ?
@Théofrède. A bon car il s'agit de Dieu ?
Votre ignorance fait froid dans le dos, ou du moins nous confirme votre paganisme. Ce qui en soit n'est pas dramatique, mais avant d'écrire ce style d'ineptie raisonnez quelque peu ......
Une piste vous avez néanmoins cité le maître de cette idéologie..........
il existe un article récent d'Annie Laurent sur la question; je pense' qu'elle est plus compétente que vous, et elle affirme que les chrétiens arabes n'ont pas attendu le Coran pour appeler Dieu Allah
avez-vous déjà eu la curiosité d'aller à une messe en arabe, que ce soit à Malte ou dans une église de rite oriental ?
Pour lutter contre les médias manipulateurs, biaiseurs, menteurs, il faudrait créer un site appelé : déséquilibrés.com
Il recenserait tous les jours les actes de haines et de violence produits par la religion d'amour et de tolérance qui nous envahit chaque jour un peu plus ! Il y aurait du travail !
Pour ouvrir les yeux aux pauvres gens désinformés sur la réalité qu'ils n'ont pas la chance ou le courage ou l'intelligence de voir...
C'est une variante du syndrome Gilles de La Tourette, dont la prévalence semble plus forte chez les populations d'origine nord africaine.
@ J.EFF : assez d'accord avec vous, le maître de ces victimes, est selon eux le plus grand. D'où leur cri de ralliement.
On est loin du "Quis ut Deus".
C’est même l’inverse. Ce qui est la marque de l’Adversaire.
Je suis toujours effaré (et même terrorisé) de voir à quel point la paresse intellectuelle favorise le pire conformisme et la fraude des mots (par référence au fameux mot de Platon).
Récemment, une de mes nièces, étudiante universitaire (en droit, pour aggraver l'histoire...) se lançait récemment dans une passe d'armes hostile avec moi, au sujet de l'Islam, regrettant les "amalgames honteux" etc.
Je lui ai posé la question qui tue. La question centrale finalement: "as-tu lu le Coran" ? La réponse fut bien évidemment: NON.
Même forfanterie en ce qui concerne la signification, dans notre langue, de "Allah(ou) akbar". Voici un commentaire éclairant, trouvé sur le net:
Le mot « Muezzin » qui enchante, malheureusement, certaines oreilles ... certaines oreilles qui ne comprennent pas et qui ne connaissent pas la langue arabe.
Que veut dire le mot « Muezzin » ? C'est un crieur qui fait appel à la prière dans les minarets des mosquées et qui dit : « Allahou akbar ».
Que veut dire le mot « Allahou akbar »? On vous dit, ça veut dire « Dieu est grand ! ». Dans la langue arabe, Akbar est un comparatif, il est utilisé pour faire du comparatif. Cette expression veut simplement dire : « Qu'Allah est plus grand que .... ».
La question encore innocente ... Allah est plus grand que qui ? Il est plus grand que le Christ. Quand le Coran dit : « Qu'il n'y a de Dieu qu'Allah », le Coran s'exprime contre la divinité de Jésus (et donc contre la trinité). Jésus n'est que son messager (son prophète), tous ces propos sont contre le christ, ils sont destinés à nier sa divinité
Pour le Coran Jésus n'est pas Dieu, Allahou akbar veut dire que Allah est plus grand que le Christ : C'est un reproche anti-chrétien et anti-christologique du Coran au christianisme.
Donc du haut des minarets, au son des minarets, donc 5 fois par jours multiplié par 3 fois par jours, cette déclaration : « Qu'il n'y a de Dieu qu'Allah », ça fait 15 déclarations anti-chrétiennes, anti christologiques. Le chant de Muezzin, c'est 15 fois la déclaration anti-chrétienne des déclarations juives post-chrétiennes anti-chrétienne dans la langue arabe.
Source:
http://nerrati.net/orient-dossier/index.php?option=com_content&view=article&id=526&catid=4&Itemid=38
Ce n'est donc pas superflu que le représentant du Christ sur la terre mentionne Son nom dans ses discours, au lieu de transformer son ministère en séance permanente de sociologie à bon marché, et ait plutôt le courage d'appeler un chat un chat.
Ce que le Christ a dit de Mahomet et de ses sectateurs :
« L’heure vient où tous ceux qui vous tueront s’imagineront qu’ils rendent un culte à Dieu. Ils feront cela, parce qu’ils n’ont connu ni le Père ni moi. » Jn 16, 2c-3
jusqu'à présent, je croyais que Jésus, deuxième personne de la Sainte Trinité, était Dieu, et donc que la proclamation Allahou Akbar était parfaitement orthodoxe d'un point de vue chrétien, sauf peut-être d'un point de vue arien; on aurait changé tout ça ?
@Fabiola
êtes-vous bien sure que le Christ ait parlé de Mahomet ?
cela prouverait au moins qu'il a vraiment existé, mais je ne me rappelle pas avoir lu son nom, fut-il posthume, dans l'Evangile
@ Théofrède
Le Crédo est tout à fait clair. En parlant de Jésus-Christ, il dit: il est Dieu né de Dieu, lumière née de la lumière, vrai Dieu né du vrai Dieu.... de même nature que le Père et par Lui tout a été fait.
Un chrétien est appelé à approfondir sa foi et je ne peux que vous suggérer de lire le catéchisme, au moins dans ce qu'il traite de la nature de Dieu.
Nous, chrétiens, n'adorons pas le même Dieu que les musulmans. C'est un blasphème que d'entendre Bergoglio dire: "les chrétiens prient avec la Bible, les musulmans avec le Coran". C'est ça l'apostasie. On ne peut pas mettre sur le même pied la Vérité (Et vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous rendra libres, Jn 8, 32) et l'erreur.
Dans Galate 1-8, Saint Paul écrit: "Mais, quand nous-mêmes, quand un ange du ciel annoncerait un autre Evangile que celui que nous vous avons prêché, qu'il soit anathème!". Qu'est-ce que le Coran, si ce n'est pas un autre Evangile ? Et qui annonce soit-disant le Coran au "messager de Dieu" ? Un ange ! Comme par hasard ! Quel prêtre, aujourd'hui, a le courage de faire un peu tourner sa cervelle et de faire réfléchir les gens ?
Il y a quelques jours, sur la Porte latine, j'ai lu ceci:
"En 778, Charlemagne, lassé par la résistance opiniâtre du Seigneur sarrasin Mirât occupant la citadelle de Mirambelle (forteresse médiévale du pays de Bigorre, ancêtre du château de Lourdes : voir photo ci-dessus) s'apprête à lever le siège lorsque Turpin, évêque du Puy-en-Velay, compagnon de Charlemagne, a une inspiration et obtient l'autorisation d'aller parlementer avec l'assiégé.
Il propose à Mirât de se rendre, non pas au souverain, mais à la Reine des cieux. La proposition plaît au chef Maure qui dépose ses armes aux pieds de la Vierge noire du Puy et se fait baptiser. Le jour de son baptême, Mirât prent le nom de Lorus qui, transmis à la ville, devint plus tard Lourdes.
Lors de la reddition il est écrit que Mirât :
« ne connaît aucun mortel au-dessus de lui et préfère la mort à la honte de la capitulation ; qu'il rend les armes au serviteur de Notre-Dame, et est prêt à recevoir le baptême, à condition que son comté ne relève jamais, soit pour lui soit pour ses descendants que d'Elle seule. »"
Quand on lit cette histoire, peut-on encore avoir des doutes sur ce passage de l'Apocalypse (12:1): "Un grand signe parut dans le ciel: une femme enveloppée du soleil, la lune sous ses pieds, et une couronne de douze étoiles sur sa tête..." ?
Bien évidemment, le nom de Mahomet n'apparaît pas dans l'Evangile. Le Démon est retors. Et pourtant l'Ecriture est limpide. Dans la première lettre de St Jean, on lit:
"Je ne vous ai pas écrit que vous ignorez la vérité, mais que vous la connaissez, et que de la vérité ne vient aucun mensonge.
Le menteur n’est-il pas celui qui refuse que Jésus soit le Christ ? Celui-là est l’anti-Christ : il refuse à la fois le Père et le Fils."
Tout va dans le même sens. Avant l'islamisation de la péninsule arabique, les habitants de cette région adoraient le Dieu Lune, Hubaal, Baal dans l'ancien testament. Le veau d'or !
Hubaal eut trois filles, Al-lât, la déesse du soleil, Al-Manat la déesse du destin et de la mort, et Al-Uzza, l’étoile Vénus. Ces divinités furent priées par Mahomet dans les fameux "versets sataniques". Dont il subsiste étrangement une référence dans le Coran d'aujourd'hui. A part cela, nous, chrétiens, sommes taxés de polythéisme... L'hôpital qui se fout de la charité.
j'ai eu très peur en commençant la lecture de votre long pensum, qui me faisait penser que pour vous le Christ n'était pas Dieu
je suis ponot, et ai sans doute bien avant vous connu la légende du sarrazin Mirat dont je ne vois pas très bien, d'ailleurs, ce qu'elle vient faire ici; mon grand-père a écrit à ce propos qu'en apparaissant à Lourdes, la Vierge n'avait fait que venir sur ses terres
quant à la religion des Arabes avant leur islamisation, elle était surement beaucoup plus compliquée que vous ne l'exposez; d'après la tradition musulmane, la Kaaba aurait contenu 365 idoles; il y avait aussi en Arabie des chrétiens et des juifs : savez-vous que la tribu à laquelle appartient la famille Al Séoud était chrétienne à l'époque à laquelle le Coran est sensé avoir été révélé