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Betsy DeVos

Pour la première fois dans l’histoire des Etats-Unis d’Amérique, le vice-président a dû voter pour qu’un ministre soit confirmé par le Sénat.

Il s’agissait hier de confirmer la nomination par Donald Trump de Betsy DeVos comme ministre de l’Education. Un choix audacieux, car Betsy DeVos est connue comme une militante de la liberté scolaire absolue : elle veut établir le chèque éducation permettant le libre choix de l’école, y compris l’école à la maison.

Naturellement, l'Union américaine pour les libertés civiles (ACLU), lobby laïciste de la culture de mort présenté chez nous comme « la plus grande association de défense des droits civiques aux Etats-Unis » a fait campagne contre la nomination de Mme DeVos dont le travail dans le Michigan a porté sur un « soutien accru aux écoles privées sans prendre en compte les dommages causés sur les écoles publiques »… Sic.

Jusque dans les rangs républicains (on est pour les libertés mais faut pas exagérer) Betsy DeVos était contestée. Finalement, le Sénat s’est prononcé par 50 voix pour et 50 voix contre (deux sénateurs républicains ayant donc voté contre). En cas d’égalité c’est le vice-président des Etats-Unis qui fait la différence. Mike Pence a donc voté pour Betsy DeVos.

Commentaires

  • Vive la liberté scolaire ! Et Mme DeVos en est une brillante et merveilleuse militante. Bravo à Trump pour ce choix audacieux et à Pence pour son vote salvateur.

    Le combat pour la liberté scolaire et contre l'illégitime emprise de l’État sur l'éducation est un combat et glorieux, insuffisamment mené en Europe et dans le monde.

    Puisse ce nouveau ministre montrer l'exemple et scandaliser la gauche immonde et les médias menteurs du monde entier par ses décisions !

  • @pr
    Je ne voudrais pas refroidir votre enthousiasme , mais Betsy DeVos passe pour une républicaine LGBT friendly et favorable au "mariage" homosexuel. Nul n'est parfait, mais pour sauver un pays il faut un minimum de perfection.
    https://www.nytimes.com/2017/01/28/us/politics/betsy-devos-gay-transgender-rights.html?_r=1
    N'oublions pas que Trump n'est que le président des USA, c'est à dire qu'il n'a que le pouvoir que veulent bien lui laisser les financiers qui dirigent le monde (y compris le Vatican). Méfions nous des faux sauveurs, il n'y en a qu'un seul: le Christ

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