Cinq personnalités américaines, dont le rédacteur en chef de The Remnant et le président de l’Association des juristes catholiques américains, demandent à Donald Trump une enquête sur l’implication éventuelle du gouvernement Obama dans la renonciation de Benoît XVI et l’élection de François (notamment à partir des tweets d’Hillary Clinton).
Commentaires
- Si vous pensez que les temps sont mauvais et que nous sommes affrontés à de formidables systèmes qui s’arrogeant le droit de réviser la loi Divine, veulent emprisonner les âmes pour les rendre incapables de vivre avec Dieu en esprit et en vérité, qui pourriez-vous mieux appeler à votre secours que saint Michel archange. La sublime question, qui nomme l’Archan-ge : « Qui est comme Dieu ? », ne s’adresse pas au seul Lucifer, ni même à ses seuls anges, elle s’adresse à chaque homme (les humains) et singulièrement aux chefs des peuples -.
http://exaltarefilms.wixsite.com/editsl/editions-s-l
Pour lire depuis un certain nombre d'années, je comprends vos doutes sur les raisons de la renonciation de Benoît XVI. Mais en lisant Derniers entretiens (que, je sais, vous n'avez pas aimé), j'ai tout de même été impressionné par l'insistance de Benoît XVI à affirmer qu'il avait mûri et pris sa décision en toute liberté. Comment peut-on concevoir qu'un si saint homme, qui n'a plus rien à craindre sinon le Jugement de Dieu, pourrait-il proférer un tel mensonge? je ne peux me résoudre à penser que notre cher Pape émérite commette un si gros péché contre la vérité, à 89 ans.
C'est pourquoi je me demande s'il est raisonnable (et même décent) de continuer à douter.
Sa décision "mûrie et prise en toute liberté" n'est pas contradictoire ni incompatible avec le fait que des pressions ténébreuses qui ont pu être, au préalable, exercées sur lui.
Vu ces pressions mauvaises probables __ car le Monde (au sens où l'entend saint Jean) était en conflit ouvert avec Benoît XVI __ pressions très fortes recourant à des voies sombres, il a pu estimer qu'il ne pouvait plus lutter davantage contre elles sans mettre en danger le Saint-Siège et même l'Eglise. Il aurait alors pris la décision, tout à fait libre et mûrement réfléchie, de renoncer. Il n'a donc commis aucun mensonge en cela. Comme il se sentait également vieillir, il a pu décider de n'avancer que ce motif-là. Mais le Pape a pu aussi avoir d'autres motifs de démission, bien plus sombres, sans qu'il soit tenu par quiconque, étant donné sa souveraineté, de les révéler de quelque manière que ce soit. Sans commettre aucun mensonge, le Pape peut parfaitement garder en son for intérieur des secrets. Ce sont les prérogatives de sa personne souveraine.
Je le redis : oui, sa décision de renoncer a été sincère, libre de toute pression et mûrement réfléchie. Mais on n'est pas sûrs d'en connaître tous les attendus... Benoît XVI a pu vouloir laisser cela au seul jugement de Dieu, qui serait d'autant plus terrible pour ceux qui l'auraient ténébreusement poussé à une telle extrémité, qu'il se serait de lui-même si humblement soumis et effacé. S'il y a des coupables en cela, Dieu leur en demanderait un compte terrible.
JE N'AI PAS LU les "Derniers entretiens", précisément pour ne pas avoir la douleur de lire les "understatements", les propos "diplomatiques" et autres... jésuitismes de langue de buis sur sa renonciation et (plus encore) sur son successeur.
Je suis globalement d'accord avec l'analyse de Dranem.
J'ajoute qu'on n'est jamais obligé de dire toute la vérité, et qu'il y a même des circonstances où l'on ne doit pas dire toute la vérité. Pour le bien de l'Eglise. Et c'est parce que je savais qu'il n'allait pas dire toute la vérité, mais répéter ce qu'il pouvait en dire, que je n'ai pas lu ce livre, et que je ne le lirai pas.
J'ai lu les passages concernant sa renonciation et ils sont convaincants parce que corroborés par les faits (difficulté à marcher, etc.) : Benoît XVI ne se sentait pas capable d'un nouveau voyage en Amérique du Sud, donc d'assumer les JMJ de Rio, et les JMJ n'ont plus grand sens si le pape n'y est pas.
J'ajoute que l'élection d'un vieux comme Bergoglio a tout de même été une surprise, et que les comploteurs que vous soupçonnez prenaient le risque de se trouver avec un pape tout aussi ferme, et plus efficace parce que maîtrisant mieux la Curie.
C'est ENORME!
Bergoglio a été le compétiteur de Ratzinger en 2005. Il était l'homme de la mafia de Saint Gall et il l'est resté en 2013. Ces informations sont publiques et détaillées dans le livre de son principal biographe Austen Ivereigh. Je ne sais pas si ce livre a été traduit en français "The great Reformer".
"L'évènement impromptu de cette élection avait été en réalité parfaitement organisée par un petit groupe de cardinaux européens afin de lancer la candidature de Bergoglio. C’était une sorte de conspiration diligentée par le Cardinal Cormac Murphy-O’Connor, ancien chef de l’Église en Angleterre et au Pays de Galles. Ce dernier avait fait des pieds et des mains pour s’opposer à ce que le pape Benoit XVI autorise par le motu propio Summum Pontificum la restauration de la messe traditionnelle et quasiment bimillénaire dite de Saint Pie V. "
http://www.medias-presse.info/la-conspiration-de-lequipe-bergoglio/20023/
Une chose est certaine, si Benoit XVI a été particulièrement attaqué (jeunesse hitlérienne à 14 ans, Pie XII, les préservatifs....), par contre, le pape François ne subit pas les mêmes attaques. Les médias mainstream semblent le protéger. On a pu remarquer la même différence entre Hillary Clinton et Donald Trump. La première a été soutenue par les médias occidentaux alors que l'autre fut calomnié à profusion.