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Sans surprise

On sait désormais que, contrairement à ce que tous les médias officiels ont immédiatement claironné après l’attentat de Nice (sur ordre de qui ?), son auteur ne s’était pas « radicalisé à toute vitesse » les jours précédents, mais bien évidemment il fréquentait des islamistes depuis longtemps… Comme dit BFM qui ne veut pas passer pour islamophobe, il fréquentait les « milieux radicaux ». Mais la chaîne ne nous dit pas s’il s’agissait des radicaux de droite ou des radicaux de gauche.

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La Banque mondiale avait demandé un rapport sur les recrues de l’Etat islamique. Et elle a fait des « découvertes ». Elle a découvert que les idéologues politiques et religieux (y compris l’évêque de Rome) nous racontaient évidemment des balivernes sur les pauvres jeunes stupides et paumés des quartiers défavorisés qui sont la proie des jihadistes (et que c’est de notre faute évidemment à nous les riches qui laissons crever les périphéries…) :

« Nous avons trouvé que le groupe État islamique n’est pas allé chercher ses recrues étrangères parmi les pauvres et les moins bien formés, mais plutôt le contraire… L’une des découvertes les plus importantes est que ces personnes sont loin d’être des illettrées » : la plupart ont fait des études secondaires, et « une partie importante a poursuivi ses études jusqu’à l’université »…

Commentaires

  • La preuve que certains systèmes scolaires et universitaires mènent quelques-uns au terrorisme. Par manque de repères et d'idéaux.
    Que veut prouver la Banque Mondiale (qui finance l'armement des terroristes via l'Arabie Saoudite et les USA)? Que le terrorisme c'est bien? Que c'est un débouché intéressant pour les étudiants?

  • Il s'agit surtout de culpabiliser l'Occident pour le laisser désarmé. Arnaud Upinski a très bien expliqué ce mécanisme.

  • Mais c'est cela l'islam à la Française ........

  • "en même temps", comme on dit aujourd'hui, qui ne va pas à la fac aujourd'hui..?
    Le danger de l'islam,, abomination totale, est grand, mais le coup des surdiplômés, c'est de la mythologie. Relevant de la veine auto-démoralisatrice justement. Je n'en crois pas un mot.

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