Les Etats-Unis et l’Union européenne, via leurs ambassadeurs à l’ONU, dénoncent la décision des Nations unies d’empêcher des ONG de « défense des droits LGBTI » de prendre part à une conférence sur le sida, du 8 au 10 juin, sous la pression de certains États membres. L’ambassadrice américaine Samantha Power demande que ces groupes puissent participer, et l’ambassadeur de l’UE Joao Vale de Almeida demande que les noms des pays qui ont obtenu en douce la modification de la liste initiale soient publiés.
Samantha Power ajoute :
« Étant donné que les personnes transgenres ont 49 fois plus de probabilité de vivre avec le VIH que la population en général, leur exclusion d’une réunion à haut niveau ne fera qu’entraver les progrès mondiaux pour combattre l’épidémie de VIH/sida et l’objectif d’une génération exempte du sida. »
Il me semble que pour conjurer cette mystérieuse malédiction il y aurait une autre solution : inciter les « LGBTI » à abandonner une sexualité contre nature, empêcher leurs lobbies de faire leur propagande, au lieu de les y encourager et de les subventionner, et arrêter de faire croire que ces lobbies sont des associations contre le sida alors que leur action a pour conséquence la propagation de la maladie.
Commentaires
Cela semble effectivement tomber sous le sens.
Toutefois, pour les lesbiennes, il y a un taux de sida plus bas que la population générale.
En effet, la probabilité de contamination est liée au nombre de partenaires, à la probabilité d'avoir un partenaire sidéen et au type de rapport, et les lesbiennes ont un avantage sur le dernier point. Pour les homosexuels, il y a assez souvent, certes pas pour tous, les trois facteurs ensemble;