Viktor Orban va faire le tour des capitales européennes pour promouvoir son plan intitulé « Schengen 2.0 » qui est sa contre-proposition à ce que souhaite imposer Bruxelles.
Il a présenté son plan vendredi dernier à Lisbonne, à une réunion de l’International démocrate centriste. « Il est inacceptable, a-t-il dit, que quelqu’un à Bruxelles décide que les pays européens doivent résoudre leurs problèmes démographiques et économiques grâce à l’immigration. Certains pays dans l’UE souhaitent peut-être résoudre leurs problèmes de cette manière, mais d’autres non. »
Parmi ces autres, la Hongrie, qui préfère résoudre le problème par une politique économique et familiale adaptée.
« En d’autres termes, l’UE ne peut pas créer un système dans lequel elle laisse entrer les migrants et imposer ensuite des quotas obligatoires de réinstallation pour chaque État membre. »
C’est pourquoi il est important d’organiser un référendum sur le système de quotas, car « maintenant, nous avons la proposition de Bruxelles sur la table, et la pression est énorme. […] Si nous n’arrêtons pas Bruxelles avec un référendum, ils nous imposeront […] des masses de population, avec qui nous ne souhaitons pas cohabiter ».
Un référendum évidemment dénoncé par la Commission européenne. Mais la Slovaquie a déjà engagé une action devant la Cour européenne de Justice contre la première répartition par quotas, la Pologne a rejeté ce plan, et le Premier ministre tchèque a déclaré hier que son pays porterait plainte s’il devait y avoir un système permanent, mais il pense que cela ne se fera pas car l’opposition sera trop importante.
Commentaires
Béni soit Viktor Orban, défenseur de la Chrétienté européenne assaillie, envahie, méprisée, avilie !
Et honte aux collabos de l'islamisation du monde !
Honte aux politicards traîtres à leurs peuples !
Décidément, ce type est remarquable.
De quoi nous consoler, et surtout nous prémunir contre les Merkel, Junker, Bergoglio et autres magouilleurs ?
Deo iuvante !