Un homme de 93 ans va être jugé en février prochain (s’il n’est pas mort avant) pour « complicité dans l’extermination d’au moins 170.000 personnes » pour avoir été l’un des sous-officiers SS chargés de surveiller l’arrivée à Auschwitz de 92 convois en provenance de Hongrie entre mai et juin 1944. Les experts disent qu’il peut supporter une audience de deux heures par jour…
Il reste encore une douzaine de « complices » à juger et à condamner pour avoir été simplement présents dans un camp. Plusieurs d'entre eux par un tribunal pour enfants...
Commentaires
Oui grotesque ! Mais encore bien que c'était un enfant mal et non une jeune fille enceinte, car dans ce cas l'enfant à naître aurait été accusé de « collaborateur » avec sa mère au titre de « complicité dans l’extermination d’au moins "X" personnes », fondées sur le principe « Infans conceptus » adapté au contexte.
"mal"----"mâle"
J'espère que lorsque les derniers seront morts, ils déterreront les cadavres et jugeront les dépouilles, à la manière du Concile cadavérique.
Bonne idée. Dans 70 ans nous jugerons (enfin pas nous, nos descendants) des étudiants en médecine, des externes, des internes, des infirmières, des sage-femmes, des concierges d'avortoirs, des ambulanciers, des membres du Planning "familial" (pardon aux familles), des syndicats, des partis, journalistes...etc etc... pour complicité dans le génocide des enfants à naître. Des hommes politiques, des médecins seniors et des évêques seront déjà morts
Et les mêmes qui s'occupent des sous-officiers SS 70 ans après ont laissé Pol Pot mourir dans son lit. C'est qu'il faut battre le fer sans arrêt pour le maintenir au chaud, année après année.
ça se passe en Allemagne !
Charles Maurras avait raison, Hansi aussi