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il semblent que les femmes soient plus unies que les hommes, en toutes les cas publicitairement plus présentes, plus visées.
les femmes font le lien social, tant familial qu'au delà, pourtant on ne peut pas dire que cette fausse religion soit aimables avec elles.
le syndrome de Stockholm aussi réunis des gens, mais ce n'est pas une force.
Bonjour,
1. Ils sont unis ? Même pas entre eux, si l'on veut bien prendre la mesure de l'importance des luttes ou des tensions entre les musulmans eux-mêmes, à l'intérieur de l'histoire de l'islam.
2. Ils sont unis ? Même pas entre eux, au sein du CFCM, si l'on veut bien se souvenir des clivages qui existent entre les différentes obédiences qui font partie de de cette organisation.
3. Le "plus grave" est ailleurs, et les musulmans modérés, comme tout être humain modéré, modéré par son respect du bien commun, de la loi naturelle, de la personne humaine, sont bien plus victimes que coupables de ce qui est le plus grave.
4. D'une manière générale, quelque part entre le début et la fin des années 1980, nous sommes passés d'une démocratie de convictions et d'opinions, à une démocratie de croyances et d'émotions.
5. L'une des conséquences de ce passage, manipulateur des individus, et neutralisateur des oppositions, c'est le maniement de la notion d'union, ou d'unité, au moyen de procédés qui relèvent du schématisme sloganesque : face à ce maniement, il est difficile de faire comprendre, à la plupart des gens, que vous êtes
- contre la conception dominante de l'Union européenne, mais pas contre une véritable coopération, réaliste et pragmatique, entre européens,
- contre la conception dominante de l'oecuménisme, mais pas contre une véritable compréhension, éclairante et exigeante, entre chrétiens.
6. "Nous sommes unis",
- donc, d'une part, nous ne réfléchissons pas, dans la mesure où nous ne faisons pas prévaloir la réflexion, qui permet de discerner ou de distinguer, sur l'émotion, qui amène ou oblige à confondre,
- et, d'autre part, nous sommes émus ou unis dans le seul camp du bien, dans le sens où ceux qui ne sont pas émus et unis avec nous ne sont pas assez ou pas encore dans le seul bon camp.
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il semblent que les femmes soient plus unies que les hommes, en toutes les cas publicitairement plus présentes, plus visées.
les femmes font le lien social, tant familial qu'au delà, pourtant on ne peut pas dire que cette fausse religion soit aimables avec elles.
le syndrome de Stockholm aussi réunis des gens, mais ce n'est pas une force.
Bonjour,
1. Ils sont unis ? Même pas entre eux, si l'on veut bien prendre la mesure de l'importance des luttes ou des tensions entre les musulmans eux-mêmes, à l'intérieur de l'histoire de l'islam.
2. Ils sont unis ? Même pas entre eux, au sein du CFCM, si l'on veut bien se souvenir des clivages qui existent entre les différentes obédiences qui font partie de de cette organisation.
3. Le "plus grave" est ailleurs, et les musulmans modérés, comme tout être humain modéré, modéré par son respect du bien commun, de la loi naturelle, de la personne humaine, sont bien plus victimes que coupables de ce qui est le plus grave.
4. D'une manière générale, quelque part entre le début et la fin des années 1980, nous sommes passés d'une démocratie de convictions et d'opinions, à une démocratie de croyances et d'émotions.
5. L'une des conséquences de ce passage, manipulateur des individus, et neutralisateur des oppositions, c'est le maniement de la notion d'union, ou d'unité, au moyen de procédés qui relèvent du schématisme sloganesque : face à ce maniement, il est difficile de faire comprendre, à la plupart des gens, que vous êtes
- contre la conception dominante de l'Union européenne, mais pas contre une véritable coopération, réaliste et pragmatique, entre européens,
- contre la conception dominante de l'oecuménisme, mais pas contre une véritable compréhension, éclairante et exigeante, entre chrétiens.
6. "Nous sommes unis",
- donc, d'une part, nous ne réfléchissons pas, dans la mesure où nous ne faisons pas prévaloir la réflexion, qui permet de discerner ou de distinguer, sur l'émotion, qui amène ou oblige à confondre,
- et, d'autre part, nous sommes émus ou unis dans le seul camp du bien, dans le sens où ceux qui ne sont pas émus et unis avec nous ne sont pas assez ou pas encore dans le seul bon camp.
Bonne journée.
A Z