L’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) a publié un guide dans lequel elle « se plaint de la grave pénurie de services d’avortements qualifiés, spécialement dans les pays en voie de développement ». Pour y faire face, elle propose :
— de rendre « plus flexibles les normes médicales, pour permettre aux travailleurs sanitaires de niveau inférieur de pratiquer des avortements ».
— de « limiter la possibilité [pour les professionnels de santé] de manifester leur objection de conscience ».
L’OMS envisage donc que du « personnel non médical pratique des avortements durant le premier trimestre, par méthode chirurgicale ou médicamenteuse », et « promeut l’avortement induit par les propres mères » (sic, si ce sont des mères il s’agit donc bien de tuer leurs enfants), afin de « rendre autonomes les femmes » et d’« optimiser les ressources disponibles du personnel sanitaire et de répartir les tâches ».
Par ailleurs, en réponse aux objections morales, religieuses, ou au malaise exprimé face aux « avortements sélectifs en fonction du sexe », et aux « avortements tardifs », l’OMS déclare : « L’objection de conscience, là où elle est permise, doit être régulée. »
Commentaires
Ces "machins", OMS, UNICEF, CCFD, Amnesty International, ACAT sont au service de la culture de mort.
Aucune dénonciation de cette politique mondiale criminelle par la Croix Rouge, l'Ordre de Malte, Caritas,..."Silence, on tue"
Et ce qui est incompréhensible c'est le soutien qu'obtiennent ces "machins" auprès de l'Eglise !
Entre autre le CCFD qui est dénoncé avec preuves à l'appui depuis des années est toujours proposé comme collecteur de dons au moment du carême.