La Cour constitutionnelle a décidé que les pharmaciens peuvent avoir une conscience.
Mais c’est en Espagne.
Un pharmacien de Séville avait été condamné en 2008 à 3 000€ d’amende pour avoir refusé de délivrer des pilules du lendemain et des préservatifs. Or la Cour reconnaît que les pharmaciens ne sont pas légalement tenus de vendre un produit qui va à l’encontre de leurs convictions. Surtout quand ils sont inscrits sur la liste officielle des objecteurs de conscience, ce qui était le cas…
Le plus important est peut-être que cette décision reconnaît que la pilule du lendemain pose un problème de conscience du fait de son « potentiel caractère abortif ».
Commentaires
En parlant de conscience ! Les chrétiens vont-ils devoir se cacher comme après 1793 ?
On organise le flicage des chrétiens ! Une start-up high-tech israélienne a développé un dispositif nommé Churchix, un logiciel de reconnaissance faciale qui est actuellement employé par plus de 10.000 églises à travers le monde, principalement aux Etats-Unis, écrit Courrier International qui cite le journal Times of Israel.
http://www.timesofisrael.com/could-israeli-startup-have-prevented-charleston-church-massacre/
Cette nouvelle technologie est maintenant utilisée par de nombreuses églises afin de garder une trace de la fréquentation de ses membres. Bien entendu, Churchix suscite de nombreuses critiques de la part des militants du respect de la vie privée. Car connaissant la haine de certains juifs envers les chrétiens, cette technologie pourrait se retourner contre les paroissiens !
https://www.youtube.com/watch?v=cDq9P-VUr0I
Effectivement, en France et dans beaucoup de pays, la répression (pour ne pas dire la persécution) est féroce et violente envers ceux qui oseraient non pas dire, mais seulement penser qu'un avortement est un homicide volontaire duquel ils refusent d'être complice.
Ce mouvement est organisé de longue main par des relais internationaux : ONU, OMS, UNESCO, FAO, PAM, EU (commission et parlement), etc. et nécessairement relayé par des gouvernements et parlementaires sous influence.
La résistance sera rude, mais on ne peut compter que sur quelques forces « traditionalistes » car même des évêques et des prêtres pèchent par consensualisme lâche.
Elle devrait défiler avec le CNT lors du 14 juillet !
https://twitter.com/ReicirRichier/status/619767250912956416/
A ce sujet, l’Agence Info Libre est allé à la rencontre de Thierry Borne, membre de ce Conseil National de Transition, afin s’en savoir plus sur le mouvement du 14 juillet et les actions à prévoir en ce jour de fête nationale :
https://www.youtube.com/watch?v=RyxSnLrjYyc
Les gendarmes savent-ils que dans leur article 5, il est écrit que s'ils reçoivent des ordres illégaux, ils avaient le devoir d'y désobéir ? Et les militaires, continueront-ils à accepter de suivre les plans sionistes (Libye, Syrie) qui ne font qu’effondrer la France, sans compter son envahissement par un nombre trop important d'immigrés ?
http://www.conseilnational.fr/
Eric Fiorile appelait aussi à un CNT. Il fut à l'origine de la démosophie.
https://www.youtube.com/watch?v=tu2Kgu58Fps
L'avortement ne sera JAMAIS UN DROIT, « même dépénalisé », même si le contrat sur la tête d'un innocent est financé par la sécurité sociale. Il ne peut pas y avoir de « droit de tuer », que l'on soit James Bond, médecin, ou maman, ou enfant.
Mais le meurtre son enfant innocent sans défense et en disant que c'est « pour son bien » est le plus horrible de tous, autant que de tuer son vieux père ou sa vielle mère « pour leur bien » quand ils sont devenus encombrant ou trop coûteux.
Puisque l'avortement n'est jamais un droit, il n'est JAMAIS UN DEVOIR, l'avortement n'est JAMAIS UNE OBLIGATION. Nul ne peut contraindre un homme ou une femme à tuer son semblable. Cela c'est le propre des régimes totalitaires fascistes, communistes ou socialistes. Le métier de bourreau doit rester volontaire et laisser celui qui s'y engage se débrouiller avec sa conscience. Nul ne saurait être contraint non plus d'être complice d'une exécution sans jugement.
Michel de Notre-Dame
A temps et à contre-temps
il faut revenir aux fondamentaux.
Dès la fusion des membranes du spermatozoïde du papa et de l'ovule de la maman se constitue un nouvel être humain, complètement différent de son père et de sa mère. Et dès ce moment se met en route un processus continu, irréversible et autonome de développement, processus qui ne s'arrêtera que par la mort de cet être humain.
Tous nous sommes nés d'un homme et d'une femme, tous nous avons été pendant 24 heures une seule petite cellule, tous nous avons été portés par le ventre d'une femme qui nous a assez aimé pour nous garder en elle pendant neuf longs mois.
Il y a-t-il une différence entre noyer ou tordre le cou à un tout petit chaton et tuer un vieux chat pour le cuisiner comme un lapin ?
LUCAS
A temps et à contre-temps
il faut revenir aux fondamentaux.
La fusion des membranes du spermatozoïde et de l'ovule engendre de manière irréversible un nouvel être humain. Très rapidement il va se développer et au quatrième jour lorsqu'il se présente à l'entrée de la matrice il est déjà très complexe ; il est tout sauf « un amas de cellules » ; il est possible de l'empêcher de s'implanter.
Au septième jour il s'enfonce dans l'endomètre ; au dixième il est complètement enfoui, recouvert totalement, et il sécrète une hormone qui va prendre le contrôle de sa mère, la gonatrophine chorionique.
Au vingtième jour le cœur bat, son sang circule, le système nerveux rudimentaire existe, il existe un orifice buccal et un orifice anal. (au cinquième jour de retard de règles). Pour l’extirper et le tuer il faut savoir s'y prendre et cela ne se fait jamais sans mal pour la mère.
LUCAS
@ Michel de Notre Dame.
« L'avortement n'est JAMAIS UN DROIT. Il n'est donc JAMAIS UN DEVOIR, jamais une obligation » écrivez-vous.
Cela c'est de la théorie. Les multiples pressions des pouvoirs socialistes facilement totalitaires et celles des libéraux libertins aussi dictatoriaux, se conjuguent avec celle très bien organisée des lobbys LGBT QI pour imposer par la force leur point de vue totalement erroné et partial ainsi que des pratiques criminelles. Les intérêts en jeu sont considérables tant du point de vue financier que idéologique. Ils rencontrent ceux des groupes pharmaceutiques.
Sans relâche la « liberté de conscience », est remise en cause par ces groupes d'intérêt convergents.
Il faut être très fort et très déterminé lorsque l'on travaille dans un hôpital, une institution, une université dépendante de ces groupes pour ne pas céder aux diktats en défendant ses propres intérêts. Souvent le choix violent est de se soumettre ou de se démettre (quand on n'est pas directement expulsé sous un fallacieux prétexte).
Prions pour ceux qui essaient de respecter la vie humaine des origines à sa fin naturelle, et soutenons les avec discrétion.
Levi
L'avortement (mensongèrement appelé interruption volontaire de grossesse) ne peut se définir que comme l'arrêt provoqué et délibéré d'une vie humaine dans son existence in utero. C'est donc toujours un homicide volontaire avec préméditation.
La pilule dite « du lendemain » est une très forte dose répétée d'un progestatif, le lévonorgestrel, dont on espère qu'il bloquera l'ovulation, ce qu'il fait moins d'une fois sur deux. Lorsque l'ovulation et la fécondation ont lieu, il agit en rendant l'endomètre moins réceptif à l'implantation. Le lévonorgestrel pris de cette façon est donc effectivement abortif.
Mais dans un certain nombre de cas, les deux mécanismes ont été dépassés, et des grossesses ont pu se développer. D'où la recommandation de systématiquement pratiquer après une semaine un test de grossesse (ou plus tard une échographie), afin de « rattraper » si nécessaire la situation.