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La résistance s’étend ?

Naïma Tagourdite est arrivée à Combrée, Maine-et-Loire, le mois dernier, avec ses deux enfants de 6 et 8 ans. Elle a aussitôt demandé des menus de substitution pour que ses enfants ne mangent pas de porc.

Le directeur lui déclare que le restaurant municipal ne propose pas de repas alternatifs.

Lettre au maire. Le maire répond la même chose.

Il précise à Ouest France : « Les menus sont mis en ligne trois mois à l’avance. Elle pouvait donc savoir que notre restaurant n’est pas un self-service. Un plat unique est proposé. »

Ce qui n’empêche pas le journal de reproduire aussi la pleurnicherie de Naïma qui accuse en quelque sorte la mairie de vouloir faire mourir de faim ses enfants…

Commentaires

  • Il faut explliquer gentiment à Naïma que la France n'est pas une prison, qui lui est tout à fait loisible de partir dans un pays qui n'offre que des repas halal...
    Vive la liberté, chère Naïma !

  • Tout cela ressemble à des caprices d'enfants pourris gâtés. S'ils étaient dans le désert et qu'il n'y ait rien d'autre à manger, ils ne feraient pas toutes ces manières.

  • Les enfants pourris-gâtés deviennent très agressifs quand ils sont contrariés dans leurs caprices. Il faudra les calmer avec une petite fessée....

  • Merci cher Yves mais il semble que cette pratique est assez fréquente. En particulier en Île de France elle permet de freiner l'installation dans les villages péri urbains de musulmans enrichis qui veulent quitter leurs cités.

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