Le pire n’est jamais sûr, mais il n’est jamais exclu non plus…
On apprend que, le 18 juin, trois personnes présenteront officiellement l’encyclique Laudato Si de François au Vatican.
Ces trois personnes sont le cardinal Peter Turkson, président du Conseil pontifical Justice et paix, Mgr Johannis Zizioulas, métropolite orthodoxe de Pergame, et le professeur Hans Joachim ("John") Schellnhuber, fondateur et directeur de l'Institut de recherche de Potsdam sur les effets du changement climatique.
C’est évidemment la première fois qu’un évêque orthodoxe est appelé à présenter officiellement une encyclique pontificale.
Mais ce qui est surtout inquiétant est la présence de John Schellnhuber. Ce personnage est un extrémiste du « réchauffement climatique anthropique ». Selon lui la Terre ne peut pas supporter durablement plus d’un milliard d’être humains. Il veut une « Constitution de la Terre », un « Conseil mondial » élu au suffrage universel du monde entier (sic), et une « Cour planétaire » pour juger les violations de la « Constitution de la Terre ». Il est, en compagnie du désormais célèbre Jeffrey Sachs (dont on dit partout qu'il est un des principaux inspirateurs de l'encyclique), le co-auteur du rapport parrainé par l’Académie pontificale des sciences intitulé « Climate Change and the Common Good: A statement of the problem and the demand for transformative solutions », qui n’a pas été traduit en français (il a même disparu du site de l’Académie pontificale). L’objectif est d’atteindre très rapidement un « monde zéro-carbone ». Sic. Ça c’est scientifique ! Et si c’est dans l’encyclique on n’a pas fini de rigoler. Enfin, façon de parler…
Commentaires
la Terre ne peut pas supporter durablement des individus comme John Schellnhuber
Bonjour les nouvelles fautes (péché) contre le dieu panthéiste. On va redéfinir le sacrement de pénitence à la mode écologique et le" jugement dernier" à la sauce verte.