Amnesty International a lancé hier une campagne mondiale afin d’obliger l’Irlande à modifier sa Constitution sur l’avortement.
Naturellement, cette campagne fait explicitement suite au référendum sur le soi-disant « mariage » homosexuel. Puisque les Irlandais ont accepté de modifier la Constitution sur ce point, ils doivent maintenant la modifier sur l’avortement.
Une campagne évidemment fondée sur le mensonge. Par exemple ce prétendu « témoignage » (en gras) :
« Je craindrais pour ma vie si je devais avoir un autre enfant en Irlande. »
Alors que l’Irlande est un des pays les plus sûrs en termes de maternité, avec le Chili qui lui aussi refuse (pour le moment) l’avortement.
Et aussi :
« La législation draconienne de l'Irlande a créé un climat de peur, dans lequel les accompagnants risquent des amendes s'ils disent aux femmes comment obtenir des soins médicaux. »
C’est le mensonge de la « santé reproductive », où l’on appelle « soins médicaux » l’assassinat des innocents.
Commentaires
A. I.: à s'en méfier
L'intervention d'Amnesty a d'ailleurs reçu ici en France une large couverture médiatique. La grande machine, forte du succès du référendum, s'est mise en branle. Tant qu'on n'aura pas fait revoter les Irlandais (dans le sens qu'il faut), ces pauvres Irlandais ne seront pas tranquilles. Et naïfs sont ceux qui croient qu'on peut souffler, essayer d'être conciliants...Dans ce combat global, tout se tient, et c'est pourquoi l'affaire Lambert est si importante.
on reconnait le démon à ce qu'il est menteur et homicide, comme le faisait remarquer à ses paroissiens un bon prêtre de la Haute-Loire qui, dans son rôle de curé, refusait de leur donner des consignes de vote les veilles de référendum et se contentait de ce rappel, sous la dictature de Charles De Gaulle; nous sommes ici en plein dans la démonstration, comme nous l'avions été dans les mois qui ont précédé le vote de la loi Veil, procés de Bobigny compris : un de mes collègues, hiérarque du parti socialiste, nous racontait la veille ce qui allait se passer le lendemain au tribunal; on peut voir ici, si certains en doutaient à quoi se rattache Amnesty International