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Au Québec

Le gouvernement du Québec veut restreindre le nombre d’avortements. Un projet de loi vise à imposer un quota maximum d’avortements par avorteur dans l’année, et l’avortement ne sera plus considéré comme « activité médicale prioritaire » (comptant pour le nombre d’actes obligatoires).

Les médecins de la culture de mort sont vent debout contre le projet. Le gouvernement « mine sérieusement le droit des femmes à des soins globaux de santé reproductive au Québec », écrivent la directrice du Centre de santé des femmes, Anne-Marie Messier, et une trentaine de médecins et directrices d’avortoirs.

Car il est désormais bien établi que les « soins de santé reproductive » consistent d’abord à tuer les enfants, c’est une question de « santé des femmes ».

Comme le dit Anne-Marie Messier : « Il ne faut pas que le projet de loi 20 passe comme ça, c’est extrêmement dangereux ! Tout l’aspect de la santé reproductive des femmes et la garantie d’un accès rapide à un avortement, c’est fondamental pour le droit des femmes. C’est le critère numéro un de l’égalité entre les hommes et les femmes. »

Le droit au meurtre au nom de la santé est fondamental, et il est « extrêmement dangereux » de le limiter. Dangereux pour qui ? Ni pour les femmes ni pour les enfants, pourtant. Et l’on ne voit pas en quoi ce serait le premier critère d’égalité entre les hommes et les femmes. La culture de mort rend fou.

Commentaires

  • "La culture de mort rend fou" Oh, combien vous avez raison! Et les femmes qui se croient libérées tombent dans l'esclavage du féminisme. Elles croient qu'en avortant elles s'affirment et qu'elles seront respectées et admirées. C'est le contraire qui arrive: les hommes de plus en plus irresponsables et jouisseurs, les méprisent et les abandonnent sans état d'âme. Quel intérêt une femme qui les imite en tout? Celles qui ont résisté aux pressions et gardé leur bébé, ont témoigné que c'était le bébé qui les avait sauvées. Et qu'elles se sentaient capables d'affronter toutes les difficultés. Hélas, elle sont très peu nombreuses. Les tueurs du Planning et de l'état veillent à ne laisser aucune alternative à l'avortement en pondant des lois de plus en plus liberticides contres les associations aidant les femmes enceintes à garder leur bébé. La culture de mort rend fou, oui, fou furieux!

  • Moi j'estime que nous contribuons « tous » sans exception à « La culture de mort », car l'impôt et autres prélèvement rentre dans le tronc commun de l'état qui les alloue en % de chaque contribuable aux avortoirs, bien sûr sans mon consentement. Mais là encore j'estime que même forcé, je dois avoir la capacité ou le droit de refuser le paiement de l'impôt sur base de mon droit de conscience, qui ici est bafoué par l'autorité, même écrasé. En fait je n'ai rien à dire,aucune force face à l'état. En plus l'état finance des mosquées et autres par mon impôt. Je trouve cela intolérable pour un catholique, la nation en m'écrasant me rend très mauvais catholique. Je signale que je suis contre la « liberté religieuse » sur la base du fait qu'il n'y a qu'une vraie religion la « catholique ». Je ne finance pas « l'erreur ».Je suis aussi contre Vatican II bien sûr.

  • @ onclin: rien de vous empêche de retirer de votre impôt sur le revenu , si vous en payez, la part qui correspond au financement de l'avortement (soit quelques centimes d'euro à quelques euros), avec lettre à l'administration fiscale expliquant pourquoi. C'est ce que je fais depuis que l'AOCPA (devenue Choisir la Vie) en 1982 en avait émis l'idée. Au début: retenue sur salaire, retenue sur compte bancaire (pour quelques dizaines de francs!!!!), tribunal administratif, conseil d'état--->objecteurs condamnés. Mais le fisc a dû s'apercevoir que cela leur coûtait plus, malgré l'aspect idéologique et maintenant, ils laissent courir. Cela faisait trop de pub aux anti-avortement.
    Il serait plus utile de financer (de façon conséquente, pas du bout des lèvres) des associations pro-vie qui ont des maisons d'accueil très coûteuses à entretenir. Quand on voit les millions qui passent au Téléthon pour liquider des embryons, on croit rêver.
    En France le délai de réflexion de 7 jours entre les 2 entretiens pour un avortement a été supprimé ce 18 mars: à l'instigation des députés PS Catherine Coutelle et Catherine Quéré

  • @Dauphin(10h29): Merci pour l'info et pour l'idée de l'autre financement (que je n'avais pas). Comme on dit "il y a plus dans deux têtes que dans une".

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