Metronews traduit un article du Mirror qui montre très clairement, par un exemple comme il y en a des centaines d’autres, qu’il y a dans notre Parlement une très large majorité d’assassins. A savoir ces élus qui non seulement votent une mesure d’euthanasie, mais en outre rendent contraignante la « directive anticipée ».
Il s’agit de l’histoire d’une femme de 39 ans qui est subitement atteinte d’une maladie nerveuse aussi rare que très grave. Elle est hospitalisée et plongée dans le coma, dans un état désespéré. On appelle son mari pour qu’il prenne la décision de la débrancher. Or sa femme lui avait clairement signifié que si un jour elle était dans cet état il ne faudrait pas la maintenir en vie. Mais le mari ne peut s’y résoudre. Dix jours après, elle se réveille, et aujourd’hui elle est parfaitement guérie. Et elle témoigne :
« J’entendais tout, heureusement que John ne m’a pas écoutée, je l’en remercie. Comme la plupart des couples, nous en avions déjà parlé mais je suis très heureuse qu’il ne m’ait pas débranchée. »
(Via le Salon Beige)
Commentaires
Et si ces gens cessaient de mettre du poids sur la conscience des autres et cessaient de caqueter bêtement, histoire d'arrêter de "donner du crédit" à cette société potentiellement assassine? Si vraiment certains veulent mourir, qu'ils aient le courage de leurs actes et se débrouillent: ou renoncent!
Mais qu'ils cessent de mettre la pression aux autres: parce que, c'est insupportable, carrément!
En effet, ils veulent se tirer dessus mais qu'un autre appuyer sur la gâchette, en quelque sorte. On se demande pourquoi tiennent-ils autant a impliquer autrui. C'est curieux .....
Quant a ce couple, ils se seront certainement concertés par la communion des Saints. Car la femme -inconsciente alitée - était incapable de signifier a son époux son revirement. Deo gratias. Toujours deux que l'enfer n'aura pas