Extrait d’un communiqué de l’« Observatoire international Cardinal Van Thuân sur la doctrine sociale de l’Eglise » :
Ceux qui aujourd'hui manifestent dans les rues avec un crayon dans la main et affichant Je suis Charlie sur la poitrine entendent défendre la liberté de parole. Or, en France la liberté d'expression et de parole est désormais entravée même à ceux qui défendent publiquement la famille entre homme et femme et expriment leur propre conviction qu'il n'est pas juste de reconnaître les couples homosexuels et de leur permettre la filiation au moyen de la fécondation par autrui. Sur ce sujet, les lois françaises sont elles-mêmes limitatives de la liberté d'expression. En savent quelque choses ceux qui, nombreux, en ont déjà subi les lourdes conséquences. La société française qui aujourd'hui défend précisément la liberté d'expression doit cependant aller jusqu'au bout de son idée de liberté. Il y a de l'intolérance en plusieurs aspects de cette culture qui manifeste maintenant en défense de la liberté.
Commentaires
En France (comme ailleurs) « La liberté d'expression » : c'est plutôt un droit qui n’est acquis qu’à la condition et pour autant que cela se traduise par le rejet des fondements de ce qui constitue la France, à savoir son passé qui est chrétien et catholique par défaut.
La liberté d’expression se cristallise en totalité sur la pensée unique dominante. Je l’appelle la féodalité moderne.
La dhimmitude des dirigeants politiques Français à l’islam, qui est leurs « libertés d’expression » ici, me fait penser au baptême de Clovis sous forme « inversée » :
« Courbe la tête, fier Français, abaisse humblement ton cou (à l’islam), “sinon coupé”. Adore ce que tu as brûlé et brûle ce que tu as adoré. »
NB : Le Pape François, lui, n’aura aucun problème pour « courber la tête » lui qui le fait en toutes occasions, sauf devant le Christ puisqu’il ne fait jamais de génuflexion au cours de ses consécrations du pain et du vin au cours de l’office.