La présence des migrants « nous rappelle la nécessité d’éradiquer les inégalités ». (François au congrès mondial de la pastorale des migrants, hier.) VO : La loro presenza è un richiamo alla necessità di sradicare le ineguaglianze.
Celui qui a faim « demande la dignité, pas l’aumône ». (François à la conférence internationale de la FAO sur la nutrition, avant-hier.) VO : Ci chiede dignità, non elemosina.
(Je précise que je n’ai pas trouvé ces citations en cherchant la petite bête dans des discours… que je ne lis pas. Elles font les titres de dépêches d’AsiaNews.)
Commentaires
De plus en plus perplexe...
et sans lire les discours car souvent trop confus ou très négatifs, pas toujours adaptés à notre époque et nos combats.
Tout à fait d'accord; le discours de François Ier est confus, et cela même indique une "confusion", une "désorientation", à tout le moins, dans l'Eglise. C'est d'ailleurs un des grands mérites de ce blog, d'attirer notre attention sur cette confusion ( pour la combattre autant qu'on le peut, bien entendu ). Que cette confusion atteigne les plus hauts niveaux de l'Eglise est déjà un signe, et pour le coup un vrai "signe des temps", auxquels l'Evangile nous demande expressément d'être attentifs.
......Celui qui a faim « demande la dignité, pas l’aumône ».....
Oui c'est ça. En tout cas il ne s'en trouve aucun pour refuser le "flouze" quand on leur en donne.
De nos jours ventre affamé n'a jamais rien eu a fiche de la dignité ni d'autre chose du reste.
Pensée de syndicaliste gauchisant que tout cela. Oh j'oubliais : "Des pauvres vous en aurez toujours avec vous", donc ne vous fatiguez pas trop trop en fait. Vous n'éradiquerez rien du tout.
La personne vient nous réciter du Mao Tse-Tung : Si vous offrez un poisson l'autre mangera une fois, si vous lui apprenez a pêcher il mangera tous les jours. Déjà incertain ça aussi.
Sait-on seulement que si nous sommes responsables de notre prochain celui-ci pêcherait en nous refusant l'occasion d'exercer notre charité soit disant qu'il ne faut pas l'humilier.
Que des mots pour casser encore l'image de sa fonction et paraitre lui comme le Pape des pauvres, celui qui les aime et les défend etc etc.