Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

François à l’honneur…

Le pape a reçu lundi au Vatican une délégation de l’université « Bar-Ilan » de Tel-Aviv venue lui remettre sa plus haute distinction. Le « Prix israélien de distinction » lui a été remis par le président de Bar-Ilan, le rabbin et professeur Daniel Hershkowitz, pour son « engagement à construire des ponts entre mondes différents », ses « efforts en faveur de la paix et de l’harmonie entre les nations et les croyants », et pour sa « défense des droits de l’homme ». Le pape a aussi été salué pour sa « contribution à la compréhension et à la tolérance entre les chrétiens et les juifs ».

Le rabbin Hershkowitz souligne que c’est un « grand privilège pour l’université » que cette occasion d’honorer le pape François qui a entrepris cette « tâche si exigeante » au niveau mondial.

Cette remise de la décoration au Vatican marque l’ouverture d’un an de festivités pour le 60e anniversaire de l’université.

« Nous sommes les fils d’Abraham, et nous avons le privilège et la responsabilité de guider l’humanité sur la voie de la paix », a déclaré le pape à la délégation de 25 académiciens de Bar-Ilan et d’hommes d’affaires d’Amérique du Sud et d’Espagne réunis pour l’occasion.

Le ministre palestinien des Affaires étrangères Riyad al-Maliki a protesté, par une lettre au Vatican disant notamment :

« L’université Bar-Ilan viole le droit international en soutenant directement ou indirectement l’entreprise de colonisation illégale israélienne », elle est « l’une des institutions les plus engagées à l’occupation israélienne et à la colonisation de la Palestine », adepte de « la haine et de l’incitation contre les non-Juifs ».

Commentaires

  • Le siège de président pour le futur « ONU des religions » n'est plus loin du Pape François, comme je le ressens. Quand il aura atteint l'éméritat de sa fonction papale, et après avoir procédé avec ses acolytes à la redéfinition de la doctrine catholique en l'étouffant complètement par une « praxis dévoyée ». Nous pouvons ici parler de « meurtre » de la doctrine catholique, opérée par le plus haut dignitaire de l'Église catholique.
    Il pourra alors s'asseoir sur ce siège qui lui sera réservé avec tout le déshonneur lié à ses actions antidoctrine catholique.

  • Attention au délit de recel.
    Quand des malfaiteurs ont fait une mauvaise action , ils en profitent pour " mouiller" des innocents ( au propre et au figuré) afin de mieux se protéger.
    Mais ici rien de semblable car avec le soutien de l'Esprit Saint le Pape François évitera cette autre version du piège tendu au Christ: " A qui faut-il payer l’impôt?"

Les commentaires sont fermés.