La Commission épiscopale de liturgie et des sacrements du Secteur français de la CECC (conférence des évêques du Canada) et l’Office national de liturgie informent les diocèses de langue française, les paroisses, les librairies et les communautés religieuses que la version révisée de l’édition européenne du Lectionnaire en langue française maintenant en vente n’est pas approuvée pour usage au Canada.
Une version révisée du Lectionnaire va être élaborée pour le Canada, elle devra utiliser un « langage inclusif ». La nouvelle version devrait être disponible d’ici un an, une fois que le document aura été approuvé canoniquement par les évêques du Canada et aura reçu la recognitio du Saint-Siège.
Il sera fort intéressant de voir si les évêques iront au bout de leur projet, et si le Saint-Siège accepte cette version.
Car ce lectionnaire sera en contradiction flagrante avec le magistère de l’Eglise, tel qu’il est exprimé dans l’instruction Liturgiam authenticam de la congrégation pour le culte divin, « approuvée et confirmée de son autorité » par saint Jean-Paul II. Ce texte condamne en effet de façon claire et précise l’utilisation du prétendu « langage inclusif » dans la liturgie.
Commentaires
Les modernistes sont hérétiques et sont en schisme de fait avec l'Eglise, mais personne appelle cela un schisme ou une hérésie. Seuls les traditionalistes que exigent le respect de leurs droits sont déclarés schismatiques. La conclusion est évidente.
D'accord avec vous à 100%!
Que signifie "langage inclusif". Internet m'explique que c'est un langage sexospecifique qui s'adresse autant aux femmes qu'aux hommes.
Jadis l'expression "mes chers frères" incluait tout le monde. Maintenant il faudraif dire, mes chères soeurs, mes chers oncles, mes chères cousines, etc...dans ce cas, "Salut" suffirait. Ou "Ave" pour les tradis.
L'Eglise tomberait-elle dans ces stupidités du temps ?
"L'Eglise tomberait-elle dans ces stupidités du temps ?"
Oui, depuis V II