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La Commission européenne a ses femmes…

Alors que Jean-Claude Juncker a commencé mardi d’auditionner les candidats commissaires, la Belgique a proposé hier son candidat. C’était forcément une candidate : la Belgique ayant attendu le dernier moment, il n’était plus question de nommer Didier Reynders, puisque c’est un homme et qu’on manque cruellement de femmes. Donc, au lieu de nommer une personnalité de premier plan (Reynders, ministre des Affaires étrangères et du commerce extérieur dans le gouvernement démissionnaire, a été ministre des Finances de 1999 à 2011 dans six gouvernements différents…), on doit se rabattre sur une femme lambda qui siège discrètement au Parlement européen depuis 1991 et a été l’éphémère présidente de son parti qu’elle mena à la défaite…

Et, au dernier moment, après la Belgique, la Roumanie, le couteau sous la gorge, a finalement présenté une femme également, Corina Cretu, dont le seul titre de gloire est semble-t-il d’avoir été un temps la maîtresse de Colin Powell. La Roumanie voulait que Dacian Ciolos demeure commissaire à l’Agriculture, mais il a fallu abandonner devant les exigences de la « parité » qu’on impose aux pays qui n’ont pas les moyens de répliquer…

Bref, il y aura 9 femmes à la Commission, sur 27, ce qui n’est pas vraiment la parité mais était le minimum acceptable par le Parlement européen…

Commentaires

  • Ces personnes lorsqu'elles sont incompétentes, comme le sont souvent les "token" nécessitent la présence d'une kyrielle de conseillers. Davantage que dans un cas normal. Mais bon, cela permettra de "donner des jobs" a des copains. Les gauchistes y excellent.

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