L’enquête menée dans des écoles musulmanes (d’Etat) de Birmingham, dénoncées en mars dernier comme faisant l’apologie de l’extrémisme islamiste, a abouti à quelques conclusions montrant qu’effectivement on y a projeté un film « sur la violence extrémiste », qu’il était « totalement inacceptable de montrer à des enfants », qu’on y apprend des chants antichrétiens, qu’il y a des problèmes de « ségrégation », etc. Tout cela étant dit avec des pincettes. Et, ajoute l’enquêteur en chef, certains étaient réticents à enquêter par crainte d’être accusés de racisme ou d’islamophobie. Et encore : « Je ne crois pas aux coïncidences et je trouverais cela très surprenant si cela se produisait uniquement dans les quelques écoles que nous avons eu le temps de visiter à Birmingham. »
Ils n’ont toujours pas compris que l’islam réel est celui qu’il appellent extrémiste et que l’islam modéré est seulement une dissimulation (ou un assoupissement).