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Le sida reste gravement homophobe

L’OMS préconise aux « hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes » de prendre des antiviraux comme « méthode supplémentaire de prévention ».

Cette recommandation fait suite au constat d'une «explosion de l'épidémie » pour ce « groupe à risques ».

Actuellement, les homosexuels ont 19 fois plus de risques d'être contaminés par le virus que le reste de la population. Prendre une pilule quotidienne combinant deux antirétroviraux, en plus de l'usage des préservatifs, pourrait diminuer les risques de 20 à 25 %, soit éviter« un million de nouvelles infections au sein de ce groupe en dix ans », selon l'OMS.

Commentaires

  • Contrairement à nous, le sida ne risque pas de poursuites judiciaires.
    Et l'OMS, comme à son habitude, aggrave la situation avec des recommandations assassines. Et c'est l'aveu masqué que le préservatif est une véritable passoire, comme les études de porosité par microscopie électronique l'ont montré. Les fabricants d'anti-rétroviraux vont se frotter les mains.

  • En 1972 Nixon avait déclaré la guerre au cancer. Des sommes colossales furent débloquées pour étudier les rétro-virus puisque l’on pensait qu’ils avaient un lien avec le cancer. En 1981, après 9 ans de recherches, absolument rien ne fut trouvé pour le guérir. Heureusement comme par hasard, arriva le sida qui permit de renouveler amplement les subventions. En fait les premiers cas de sida trouvés étaient dus à l’utilisation de drogues. Mais on a préféré mettre çà sur le dos d’un rétrovirus identifié par Luc Montagnier de l’Institut Pasteur de Paris, ce qui lui valut le prix Nobel. Ce qui est extraordinaire, personne n’a pu voir le virus à l’aide d’un microscope perfectionné ! L’annonce faite par la secrétaire d’état Margareth Heckler et non par Gallo, démontre clairement que nous avions là une volonté politique d’investir dans ce domaine. Le soir même Gallo présentait son test sanguin pour le VIH qui avait la capacité de dépister la présence de ce virus pour les dons de sang. Comme il l’avait soigneusement breveté, cela le rendit archimillionnaire. Pourtant être déclaré séropositif ne prouve pas qu’on a le sida. Il existe au moins 70 conditions médicales qui peuvent vous rendre séropositif ! Comme la malaria, la lèpre, la tuberculose, le vaccin anti grippal…. On comprend pourquoi l’Afrique s’est retrouvée avoir de nombreux séropositifs. On a ainsi donné à toute une population des médicaments particulièrement toxiques tels que l’AZT, prévus auparavant pour lutter contre le cancer mais qui fut supprimé quand on s’aperçut que toutes les souris en mourraient. Le sida permit de le ressortir ce qui eut pour effet de tuer de nombreux hémophiles. En fait les prostituées séropositives ne sont dangereuses par rapport au sida que si elles prennent des drogues dures. Nous n’avons pas là une maladie infectieuse.
    http://www.rethinkingaids.com
    Il n’est donc pas question d’un vaccin contre le sida. Car un vaccin permet une primo-infection qui vont créer des anticorps. Ce faisant, il rend automatiquement le patient séropositif !
    http://www.youtube.com/watch?v=XGWDbSDucCc

  • Pour la première fois, l’Organisation mondiale de la Santé a recommandé aux hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes, de prendre quotidiennement des antirétroviraux à titre préventif, pour éviter d’être contaminés par le sida. L’événement n’est pas seulement médical, mais aussi politique, comme l’explique le journaliste Jean-Yves Neau sur son blog.
    http://jeanyvesnau.com/2014/07/12/sida-un-medicament-pour-le-prevenir-qui-paiera-le-truvada/
    En effet, "la seule spécialité pharmaceutique actuellement utilisée dans cette indication préventive [est] le Truvada®. Le Truvada® est une association de deux médicaments antirétroviraux fabriqué par la firme américaine Gilead Sciences."

    Bref, une firme américaine détient le monopole de la commercialisation du médicament recommandé par l’OMS. Et le vend à un prix prohibitif. Qui va payer ?

    Forts de cette nouvelle recommandation de l’OMS les responsables d’Aides ont choisi une nouvelle fois d’en appeler à Marisol Touraine, ministre de la Santé. Ils lui demandent de « sortir de l’immobilisme ». En pratique ils réclament de faciliter l’ouverture de l’accès au traitement préventif. Cette mesure ne pose guère de difficultés pratique : il suffit d’une « extension de l’indication au préventif » du médicament qui « permettrait la mise à disposition pour des personnes séronégatives ».

    Le Truvada® est actuellement disponible dans le cadre d’une recommandation temporaire d’utilisation (RTU). Il est commercialisé par la firme américaine 520 euros les 30 comprimés et pris en charge à 100%. Gilead Sciences maintiendra-t-il ce prix pour une utilisation préventive ? Sur le fond la question soulevée est de taille dans la mesure, notamment, où la sécurité sociale ne prend pas en charge les actes de prévention.

    http://base-donnees-publique.medicaments.gouv.fr/extrait.php?specid=69481664

    Trente-trois ans plus tard le sida redevient une maladie politique. A-t-il jamais cessé de l’être ?"

  • les images représentant le sida n’ont aucune validité scientifique !

    http://www.youtube.com/watch?v=AJ6M1Q-6Xy0

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