Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

De "La Repubblica" à "l’Osservatore Romano"

Sandro Magister constate que pour la deuxième fois en un mois l’Osservatore Romano donne une page entière à un certain Marco Vannini, que nous ne connaissons pas, mais qui a écrit un article dans La Repubblica, le vendredi saint, pour expliquer que la résurrection du Christ est une « construction théologique », que saint Paul avait « le cerveau malade » et que son affirmation selon laquelle notre foi est vaine si le Christ n’est pas ressuscité est « la plus anti-évangélique qui soit ».

Mais puisque le quotidien de la gauche anticléricale est quasiment devenu le journal du pape, il est logique que ses collaborateurs sévissent aussi dans le journal qui est réputé comme le journal du pape… D'ailleurs, comme on vient de le lire sous la plume de Bergoglio dans La Repubblica, il faut bien engager le dialogue pour découvrir la vérité...

Commentaires

  • Ce n'est pas de votre faute, mais en douze minutes,(en comptant le laps de temps entre cet article et le précedent) vous nous flanquez le moral au niveau du zero absolu...

  • Si, c'est de ma faute. Je ne suis pas obligé d'en parler...

    Cela dit, relisez le début de l'épître aux Ephésiens, et le début de la première épître de saint Jean. Vous verrez, ça ira tout de suite beaucoup mieux...

  • Le chrétien se rit de tout cela avec sa foi héritée de dizaines de générations.
    Rome en dessous de tout,restons charitable.

  • Pascal a écrit: "si le Christ n'est pas ressuscité, malheur à nous". La foi chrétienne repose sur cette Résurrection. L'Eglise orthodoxe semble accorder plus d'importance à Pâques qu'à Noël, ça ne manque pas de logique. L'iconographie orthodoxe montre plus souvent le Christ en majesté, donc ressuscité, que sur la croix.
    .

  • Rebonjour,

    Il est absolument impossible que cette accumulation d'IM-BER-BRO-GO-GLIOS soit accidentelle ou involontaire. Impossible.

    Il faut croire qu'en haut lieu, il a été considéré, probablement fin 2010, id est juste avant l'annonce d'Assise 2011, que le recentrage ratzingérien commençait "à bien faire".

    Déconcerter, décourager, démotiver, désorienter les catholiques favorables à ce recentrage, et donner à croire aux plus influençables ou manipulables d'entre eux que leur positionnement est la manifestation d'un déficit, "pélagien", d'authenticité évangélique : cela semble être le mot d'ordre "franciscaniste", depuis l'élection du Pape François.

    Bon courage pour vous-même et pour tous, dans ce contexte éprouvant ; nous sommes condamnés à assister à nouveau à la visite obligatoire de la "chapelle sixties", alors que nous savons déjà ce qu'il y a à l'intérieur.

    A bientôt.

    A Z

Les commentaires sont fermés.