(Via Le Salon Beige, qui fait état des réactions et de la mise au point - courageuse - du journal.)
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(Via Le Salon Beige, qui fait état des réactions et de la mise au point - courageuse - du journal.)
Commentaires
On pouvait espérer le monde (amér)indien épargné par le fléau de l’inversion sexuelle… Débarque à l’instant sur la liste « Nahuat-l » – “nahuat” étant l’étymon de ses descendants « nawat », « nahuatl » et « nawal » – ce message (en anglais) (¹). La brochure indiquée – enlever la parenthèse finale ! (²) – : 114 pages entièrement en nahuatl sur cette ignominie. J’imagine les vaillants guerriers aztèques revenant cinq siècles plus tard dans leur capitale…
[Un hispanophone “natif” serait aimable de nous indiquer le sens exact, ressenti, du « puto que padece » utilisé par le Fr. Alonso de Molina (XVIe s.) …]
1. http://listserv.linguistlist.org/cgi-bin/wa?A2=ind1405A&L=NAHUAT-L&F=&S=&P=893
2. http://www.conapred.org.mx/userfiles/files/Enadis-2010-Nahuatl-Web_INACCSS.pdf
Sauf contexte contraire le "puto que padece" est l' homosexuel qui subit la sodomie (en Nahualt: cuiloni, chimouqhi à distinguer de l'homosexuel "actif" qui se dit cuilonyotl) .
puto: homme homosexuel
puta: prostituée
padecer: subir, souffrir