La presse espagnole salue Hidalgo, la «femme andalouse» de Paris.
L'Espagne fière du choix de Manuel Valls pour Matignon.
Si les Espagnols en sont si fiers, on les leur rend volontiers… (Mais sans doute les Espagnols sont-ils contents qu’ils soient chez nous et non chez eux.)
Commentaires
Rectifions, on le rend aux Catalans. Les Espagnols n'en veulent pas, ils ont déjà eu Gonzalez et Zapatero.
"Libé" fait dans l'humour dans sa couverture: "Ayrault Valse"
Quand Valls valsera "Libé" pourra écrire "Valls c'est Zayrault"
Espérons dans pas longtemps.
Hollande peut encore dire demain que c'était un poisson d'avril, cette nomination.
La Catalogne sud est pour l'instant toujours espagnole, donc c'est bien on le rend aux Espagnols!
Même si la fierté espagnole se réveille facilement (en tout cas que la fierté française quand il s'agit d'un Français "réussissant" à l'étranger) pour parler d'une personne ayant une ascendance espagnole, la vision donnée par des journaux comme le "Pais", c'est la vision du Monde en France, donc ce n'est pas celle des Espagnols mais du système.
Les relations franco-espagnoles ont toujours été très compliquées.
Vu le triste roi que la France leur a donné, car c'est un descendant direct du Roi Soleil, les Espagnols fussent-ils catalans nous rendent la monnaie. Pour Hidalgo qui est d'origine quasi-gaditane, c'est aussi une réponse à Chateaubriand et à ses fils de Saint Louis.
Les Espagnols sont trop heureux de ne pas être encombrés de ce duo: ils préfèrent qu'il sévisse en France. D'où leurs réactions dithyrambiques.
Au moins les Espagnols sont contents…
de refiler à la France...
le fond de leur poubelle...socialiste.
Des "Valls" ou des "Hidalgo"...ils n'en veulent pas!
En tous cas ni l'hidalgo ni le valls n'ont eu l'ombre du soupçon de l'idée de repartir "au pays" dont ils sont si fier, le franquisme c'est pourtant fini depuis 1975 !!!
En Espagne, les humbles et le peuple regrettent tous le franquisme. Ils sont revenus des mirages de l'Europe et de la manipulation des médias. Il n'y a que les élites embourgeoisées et marxisées qui noircissent la période 1939-1975.