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Par-delà le refus de la barbarie « Femen », le sens profond de ce samedi 8 février

L’AGRIF, bien sûr, selon sa vocation exige du gouvernement la dissolution du groupuscule de haine raciste anti-chrétienne des Femen.

Mais, au-delà, appeler et participer en masse à sa manifestation, c’est promouvoir une ligne cohérente de défense bien sûr de la famille, socle de notre vie individuelle et sociale, mais aussi, très prioritairement, du respect de la vie innocente, valeur fondamentale et universelle de toute civilisation pleinement humaine.

Cela implique des exigences concrètes dans l’ordre politique et de l’écologie humaine que les partis actuels d’une gauche de plus en plus nihiliste et génocidaire piétinent mais que les partis d’une droite, par trop anémiée et souvent idéologiquement subvertie, méprisent ou ne prennent guère réellement en compte.

Voilà pourquoi notre manifestation de samedi dans la fraternité chrétienne et l’Amitié Française s’inscrit dans une claire volonté d’appel à un renouveau politique pour que soient enfin défendues sans restriction les valeurs de la vie, de la personne humaine, des communautés et des libertés protectrices.

Un tel mouvement doit s’affirmer dans les partis et si nécessaire devra se développer par-delà les partis. Et cela hors de la position aberrante consistant à vouloir combattre des lois mais apolitiquement !

Refuser la connivence de l‘État socialiste avec les sections d’assaut anti-chrétiennes des Femen, c’est défendre la culture de vie contre la culture de mort, c’est vouloir replacer le combat pour la vie au cœur de l‘action politique.

C’est ce que nous clamerons samedi 8 février à 15 h PLACE DES INVALIDES !

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