Le député norvégien Per Sandberg, vice-président du parti du progrès (qualifié chez nous de populiste, voire d’extrême droite), et président de la commission permanente de la Justice à l’Assemblée nationale, appelle à prendre trois mesures immédiates contre « le flot de mendicité et de criminalité ». L’une de ces mesures est ainsi présentée :
« La police peut, en vertu de la loi sur la police, article 7, stopper aux frontières les groupes organisés de Roms, de Bulgares ou de Français car on sait d'expérience que ces gens violent la paix et troublent l'ordre public et aussi il est prouvé que beaucoup d’entre eux se livrent à des activités criminelles. »
Et l'on ne peut même pas expliquer le propos sans tomber sous le coup des lois "antiracistes".
Commentaires
Le gentilé se mérite et le F majuscule encore plus, ces groupes organisés ne sont ni "français" ni "Français" et encore moins "européens" (c'est la nouvelle tendance...), ce sont des allogènes point barre.
Il s'agit tout simplement de ce que Sarkozy (eh oui, toujours Sarkozy, le vrp du Qatar) appelait "les Français d'après", en s'en félicitant, dans un de ses discours de province dont j'ai malheureusement perdu les références.
Tout Norvégien normalement constitué aura compris